Retrouvailles Cascadiennes

C'est toujours la faute des garçons de toute façon (même pas peur de le dire, vous êtes en minorité numérique )

Toujours de notre faute hein ???

Et quand vous mettez 3 heures à vous habiller parce que vous changez 15 fois de tenue, c'est toujours de notre faute ?????

On n'y croyais plus, et je m'excuse pour ça, mais voilà, je suis de retour en force...
Bon je me prend un peu pour un héros là, mais voilà, j'ai pondu la suite!
Et dans le genre longueur, j'pense que vous serez content
Donc si certaines personnes continuent à lire cette fic, pour toi public (... j'aurais pu m'abstenir)

Partie 33

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Sa raquette roula entre ses doigts agiles tandis qu'il rajustait la visière de sa casquette. Il sentait la sueur perler sur son front mais la chaleur n'y était pour rien : au contraire, un léger frisson parcourait ses bras nus sous l'emprise de la brise crépusculaire. Ses jambes fléchirent pendant que ses mains parcouraient le manche, comme pour se familiariser avec l'objet. Le ciel se teintait d'une délicieuse couleur rosée, altérée par la soudaine apparition des nuages, encombrant les derniers rayons du soleil qui atteignaient tout de même ses épaules. Il se détendit le cou, faisant se mouvoir le tissu de son débardeur contre sa peau.
Ses cuisses se contractèrent lorsqu'il posa les yeux plus loin : de l'autre côté du court, son adversaire lui faisait face. Dans une attitude à la fois assurée et concentrée, celui-ci vérifia le noeud formé par le cordon de son short puis fit rebondir la balle jaune au sol, comme un mouvement de va et viens entre la terre et sa paume. Cameron se désintéressa de lui et fixa ses yeux sur la balle. A tout moment, il allait la lui envoyer, Cameron devait être prêt, ses réflex étaient en alerte.
Assis dans les gradins qui entouraient le court, neuf personnes observaient alternativement les deux rivaux, dans un sensible mélange d'attention fascinée et d'appréhension prononcée. L'une d'entre eux s'était volontairement écarté du groupe, sa silhouette tremblotante orientée vers Cameron qu'elle observait de ses yeux larmoyants, tandis qu'une autre, une boucle chataigne s'enroulant machinalement autour de son doigt, subissait l'attitude furtive et sauvage des autres à son égard. Aucun d'entre eux ne semblait ressentir la fraîcheur de l'air ni même entendre le sifflement du vent. C'était comme si un public d'inconnus s'était tout à coup soudé pour soutenir le même candidat qui n'avait que très peu de chance de remporter une quelconque victoire. Mais le candidat en question se moquait bien des risques, tout ce qui lui importait, c'était la balle, et sa raquette. Il savait que pendant quelques instants, rien d'autre n'aurait plus d'importance que le mouvement de son poignet, la force de son bras, la trajectoire du projectile, l'exactitude de sa réflexion. Ce match serait peut-être l'issue de tout et quel que soit le déroulement et le résultat, Cameron se fit une promesse : jamais il ne tremblerait devant lui.
Son adversaire tendit le bras. "C'est parti" pensa Cameron. Dans un coup spectaculaire, Gunnerson exécuta son service.

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-TAIS-TOI !
Cameron fit un pas en avant, mais Guns ne bougea pas. Au contraire, un long sourire malfaisant s'afficha sur son visage, comme s'il prenait plaisir à le faire enrager -ce qui était sûrement le cas. Sunny posa inutilement sa main sur le bras de Cameron, sachant pertinemment que rien ne pourrait l'arrêter si Guns continuait à attiser sa colère.
-Tu savais très bien le risque que tu prenais en révélant mes secrets White, ils nuieront bien moins à ma réputation que tes conneries à la tienne.
-Je t'ai dit de te taire!
-Cameron, Cameron, dit Guns d'un ton provoquant, tu devrais vraiment te forcer à garder ton sang froid. Tu ne voudrais quand même pas faire peur à tout le monde... Quoi que, ce sont tous tes amis il me semble, non? Ils sont là pour te soutenir et t'accepter comme tu es, avec ton lot d'erreurs et ta cargaison de crack et d'héroï...
-Mais c'est pas vrai!
Cette fois, c'était Sunny qui était intervenu. Le visage enfoui entre ses doigts, elle semblait ne plus pouvoir supporter cette situation, tout ceci avait assez durer. Agir lui était impossible, mais la conversation des deux hommes connaîtrait une fin peu souhaitable s'ils ne se calmaient pas rapidement.
-Tu as eu tout ce que tu voulais, lança-t-elle d'un air résolu. Nous avons fait ce que tu nous avais demandé, nous t'avons payé, Cameron est allé au-delà de tout pour te rembourser, tu viens d'avouer notre secret devant tous nos amis, alors qu'est-ce que tu veux de plus?
Chacun s'attendait à voir Guns s'emporter contre Sunny et même contre le monde entier, déversant sa bile sur tout ce qu'il pourrait atteindre... mais non, malgré tous les regards accusateurs et dégoûtés qui lui étaient adressés, il conservait son éternel sourire, sans se rendre compte que loin d'en vouloir à Cameron, c'était lui que tout le monde méprisait.
-Capaduca, tu te rebelles, je ne pensais pas vivre assez vieux pour avoir le privilège de revoir ça. Tu as fait tout ce que tu pouvais pour sauver ton homme, je suis certain que lui-même en garde d'ailleurs un excellent souvenir...
Avant qu'il ait fini sa phrase, tout le monde sut que Guns était allé trop loin. Effectivement, en un instant, Cameron s'était jeté sur lui comme un taureau en furie et l'avait plaqué contre le mur le plus proche, ses mains enserrant son cou. Des cris apeurés retentirent dans la cuisine, mais Guns continuait à rire comme un dément. Cameron resserra son emprise et la main de son rival vint atterir sur la sienne.
-NE PARLE PLUS JAMAIS DE CA! COMMENT PEUX-TU EN ÊTRE FIER? JE NE VEUX PLUS JAMAIS T'ENTENDRE EN PARLER!
-Ne me menace pas White! Tu ne peux rien contre moi, tu es faible, tu es seul!

(suite)

Avant que la rage de Cameron ne tonne à nouveau, ce fut comme si un éclair avait soudain traversé la pièce. Personne ne réussit à comprendre comment il s'y était pris mais Guns avait repoussé l'attaque de Cameron et se trouvait désormais à terre, le maintenant au sol afin qu'il ne puisse plus l'atteindre. Cameron se débattait comme un fou, perdant inutilement de sa force.
-Tiens-toi tranquille ! lui ordonna Guns comme s'il s'adressait à un enfant, et non à un homme en proie à une véritable crise de colère.
Exécutant ses paroles à sa place, Guns attrapa le bras musclé de Cameron et l'abattit à terre, le privant du moindre mouvement. Le corps totalement immobilisé, Cameron put tout de même apercevoir quatre silhouettes s'approcher d'eux dans le dos de Guns. Il comprit ce que ses amis avaient l'intention de faire mais devait les en empêcher. C'était son affaire.
-Laissez-le moi! cria-t-il. Laissez-moi m'en sortir seul, vous n'avez rien à voir là-dedans.
Sebastien, Rick, Squib et Nate, écumant de rage, avaient suivi leur instinct : chacun d'eux s'apprêtait à bondir sur Guns afin de secourir leur ami. Les filles se tenaient en retrait, observant la scène avec attention : Cody gardait les yeux fixés sur Guns comme si elle ne parvenait pas à y croire et tenait une Sunny mortifiée entre ses bras, Tanis, elle, avait posé une main qu'elle voulait protectrice sur son ventre et faisait voler son regard de part et d'autre des garçons afin de ne rien manquer des évènements qui allaient suivre, enfin, Megan semblait totalement déchirée entre son boulversement devant tout cela et sa rancoeur envers Adena qui fixait le sol, le visage impassible et dénué de toute expression. Les hommes maitrisèrent leur pulsion à la demande de Cameron et reculèrent d'un pas, se tenant toujours prêt si besoin était. Malgré sa position d'infériorité, Cameron leur fut reconnaissant de ne rien tenter tout en manifestant ainsi leur loyauté.
-Tu joues au plus courageux White, mais tu n'as jamais eu un gramme de bravoure en toi, continua Guns, toujours dans l'objectif de la provocation. Tu t'es vendu à moi plutôt que de sauver toi-même ta peau, tu as accepté tous les marchés, tu t'es laissé entraîné dans la drogue les yeux fermés, tu m'as laissé faire tout ce que je voulais de toi...
-J'étais faible, je n'avais plus rien, répliqua Cameron d'un ton qu'il choisit de rendre calme. Mais aujourd'hui je suis sorti de tout cela, j'arriverais à te faire sortir de ma vie!
-C'est trop tard White, beaucoup trop tard! Tu ne peux plus rien contre moi! Je tiens ta vie entre mes mains, à tout instant je peux choisir de la faire rebondir ou de la faire tomber, tu n'es qu'un jouet.
-Et bien regarde! Je suis là, je ne peux rien faire. Qu'est-ce que tu attends Guns? Fais "tomber ma vie" comme tu le dis si bien. C'est une occasion en or, tu n'as qu'un geste à faire. Puisque tu es le plus brave de nous deux, prouve-le! Tue-moi! Allez montre de quoi tu es capable!
-Ne joue pas à ça White, tu n'es pas en état d'ironiser.
-Ce n'est pas de l'ironie. Je ne peux plus supporter d'être contrôlé comme ça, je préfère mourir que de te voir maîtriser la fin de mes jours.
Tous les yeux s'étaient tourné vers lui. Cameron était-il en train de devenir fou? Abandonner ne lui ressemblait pas, comment pouvait-il prononcer ces paroles? Sunny l'implorait du regard, prnonçant muettement le mot "non" comme s'il venait de faire la pire erreur de sa vie. Cameron fut ravi de leur réaction, c'était exactement ce qu'il souhaitait. Et en effet, Guns parut le prendre au sérieux, il voyait Cameron abandonner les armes et, tout comme celui-ci l'avait espéré, lui simplifier les choses ne représentait plus rien d'amusant pour Guns. Contre toute attente, il relâcha son étreinte et se releva, visiblement désarçonné. Il ne s'était apparemment pas attendu à cela et regarda les autres comme s'il cherchait de l'aide. Squib lui ne cherchait pas à comprendre ce qui arrivait, ses poings resserés ne paraissaient attendre qu'une seule et unique chose: que son cerveau leur donne enfin l'autorisation de s'abattre sur Guns. Mais celui-ci orienta à nouveau ses yeux sombres au sol, comme s'il venait à l'instant de se décider.
-Ce serait trop facile White... Je ne vais pas te tuer.
Cameron eut le bon sens d'attendre un instant avant de se remettre debout à son tour, échangeant un regard avec Sebastien qui semblait avoir compris sa technique : au moins, il gagnait du temps.
-T'achever ne m'intéresse pas, pas aussi brutalement en tout cas.
-Alors qu'est-ce que tu veux pour que l'on soit quits?
-Quits?
Guns éclata d'un rire dénué de joie qui fit frissoner Tanis.
-J'espère que tu plaisante! Il n'est pas question d'être quits pour l'instant, et tu n'es pas en mesure de négocier quoi que ce soit.
-Alors explique-moi! Qu'est-ce que tu veux encore? hurla Cameron, tel un désespéré.
-Un affrontement White! Je veux que tu te mesures à moi, que tout le monde ici comprenne combien tu es faible et insignifiant, que chacun établisse ta véritable valeur.
-Je t'ai déjà cassé le nez, je ne vois pas quelle preuve il te manque.
Si la situation n'avait pas été aussi dramatique, Megan aurait rit. Mais à cet instant, elle n'y songea même pas. Si elle n'avait écouté que son esprit fougueux, elle se serait elle-même jeté sur Guns depuis bien longtemps. Celui-ci posa deux doigts sur le long pansement qui s'étalait disgracieusement sur l'arète de son nez.
-Oh tu es fier de ce coup-là, n'est-ce pas? cracha-t-il d'un air dégoûté. Non je ne te parle pas de ce genre d'affrontement. Je veux une victoire claire, nette, précise, sans personne pour la contester, ni proposer la moindre objection. Tu sais pertinemment que tout ce qui t'es arrivé n'était pas source de ma folie mais de ton incapacité à mener ta vie comme il le faut. Tu t'es laissé faire, et lorsque tu as enfin voulu te battre, il était trop tard. Il est temps de recourir aux bonnes vieilles méthodes.
-Je ne comprends rien Guns, avoua Cameron en toute sincérité.
Guns le foudroya du regard mais un sourire apparut sur ses lèvres.
-Rendez-vous sur le court. Raquette et balles, prépare-toi pour le match le plus décisif de ta vie.
Cameron ne fut pas le seul à être étonné. Tous ces discours menaient donc à un jeu de balle? Un match n'était pas en mesure de décider qui de deux personnes était la plus brave. C'était peut-être ainsi qu'ils réglaient leurs affaires à quinze ans, mais bien des années avaient passées.
-Attends... je ne suis pas sûr d'avoir compris. Tu veux tout jouer dans un simple match de tennis?
-C'est peut-être la seul discipline où nous sommes aussi doués l'un que l'autre White. Nos chances sont égales, nous avons déjà combattus à mains nues durant des années. Il s'agit donc du seul moyen d'affirmer une dernière fois ma supériorité ou au contraire de te rattraper un minimum. Alors c'est à prendre...
Guns haussa les épaules.
- ... ou à laisser.

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Cameron réunit ses forces et frappa dans la balle qui traversa le court telle une étoile filante, avant de finir sa course dans la zone délimitée. Le match avait commencé! Ses jambes le menait d'un bout à l'autre, le bras tendu, sous le regard de ses amis totalement absorbés Le vent fouettait son visage endurci mais rien n'aurait pu le faire flancher. Il ne savait pas exactement à quoi allait mener ce match : Guns et lui-même étaient ennemis depuis tant d'années qu'il se demandait comment un simple jeu pourrait arrondir les angles. Peut-être Guns ne voyait-il pas là un réglement de compte mais seulement une occasion de plus de l'humilier ouvertement... C'était l'instant idéal, tout ce qui lui tenait à coeur et méritait qu'il se batte se trouvait actuellement dans les gradins du court. Mais il ne le laisserait pas faire, se décevoir lui-même c'était une chose, mais tomber devant toutes ces personnes qu'il aimait et qui croyaient en lui, c'était inconcevable.
Il manqua une balle et en sorti immédiatement une autre de sa poche matelassée. S'il lui laissait le moindre instant de répis, ce serait perdu. Il connaissait les techniques du coach pour les avoir suivi dans son jeune temps, selon son point de vue, la réussite était fruit d'acharnement, le moindre signe de faiblesse donnait à l'adversaire un sentiment de domination. Et il avait choisi de l'appliquer au mot.
Dans les gradins, l'agitation pointait le bout de son nez. Tandis que Cody se rongeait les ongles jusqu'au sang, Adena gardait les yeux résolument baissés. Involontairement isolée, elle préférait ne montrer aucun intérêt pour le match qui se déroulait devant elle. L'espace d'un instant, elle sentit un regard se poser sur elle mais n'y attacha aucune importance... jusqu'à ce qu'elle entende distinctement une respiration, claire et régulière, à ses côtés. Après un vain essai, elle ne put ignorer plus longtemps la présence de Megan lorsque celle-ci ouvrit la bouche.
-Pssst, Adena, chuchota-t-elle, dis-moi, qui veux-tu voir vainqueur?
L'intéressée resta imperturbable. Sa violente dispute avec Megan l'avait touchée, toutes ses tentatives pour se faire pardonner avaient été réduites à néant, son amie lui reprochait désormais tant de choses qu'elle avait préféré abandonner ses excuses à répétition. Très honnêtement, cela commençait même à l'énerver plus que tout autre chose.
-Ton ami d'un côté, l'homme de ta vie de l'autre, continua-t-elle non sans ironie, quel cruel dilemme. Je n'aimerais pas être dans tes talons. Enfin, pas que pour ça mais bon...
La provocation, encore et toujours, voilà le seul moyen qu'avait trouvé Meg pour l'accabler. "Tu ne te rends pas compte" pensa Adena. Sous ses airs coupables et abbatus, qui aurait pu deviner ses véritables sentiments? Elle estimait en effet ne pas mériter ce rebut qu'on lui adressait : son histoire avec Sebastien datait d'une éternité et autant qu'elle le sache, elle ne l'avait pas violer, lui-même avait agi selon son propre gré ; quant au coach Gunnerson, elle était adulte et pouvait bien mener sa vie comme elle l'entendait en fréquentant les personnes qu'elle désirait. Malgré la crédibilité des expressions se lisant sur son visage, l'agacement était certainement le sentiment proéminant : pour qui se prenaient-ils?
Cameron avait manqué plusieurs balles, l'égalité des scores persistait et il se doutait que Gunnerson se régalait de résultats aussi serrés, simplement pour le plaisir de lui administrer un coup de grâce lorsque Cameron serait tout prêt de la victoire. Aurait-il assez de force pour l'en empêcher? Malgré lui, il commençait à en douter. Le tennis n'était pour lui qu'une passion, pour Guns c'était un métier. Et si cela avait raison de sa défaite? Il imaginait déjà le regard désolé de ses amis. Il joignit ses deux mains sur sa raquette afin d'actionner son revers, lui provocant une douleur dans le bras. Un cri franchit le seuil de ses lèvres lorsqu'il plongea au sol dans un effort inutlie pour rattraper une balle trop rapide. L'assemblée fut parcouru d'un murmure désaprobateur. Nate et Squib se levèrent, prêts à voler au secours de Cameron, toujours à terre.
Un petit sourire satisfait prit place sur le visage de Guns tandis que Cameron reprenait péniblement l'usage de ses jambes. Quelques points seulement les séparaient tout deux de la victoire, tout se déterminerait dans les quelques minutes cruciales qui allaient suivre. Une bouffée de chaleur envahit ses membres, contrastant étrangement avec la fraîcheur croissante de l'air ambiant. Les nuages se multipliaient à chaque seconde comme la promesse menaçante d'un tonnerre estivale. Dans quelques instants, le court serait plongé dans l'encre nocturne, déjà pris de vitesse par l'obscurité orageuse. Sa raquette reprit sa place entre ses longs doigts habiles, l'esprit à mi-chemin entre la rage de vaincre et le débordement émotionnel. Guns se tenait là, prêt à servir à tout moment, les yeux déjà illuminés par la lueur de la victoire à portée de main.

Ah une suite !!!!

Merci Merci Merci !!!!!










Alors pour le petit commentaire qui va avec la surprise de trouver une suite sur cette fanfics :

J'ai eu du mal a me remettre en mémoire l'avant, mais en lisant les premières lignes tout m'est revenue donc c'est pas encore trop grave !

J'aime toujours autant la facon d'écrire
Un match Cameron/Guns très bien décrit, je me croyais au milieu des spectateur !
J'aime bien ce petit retour en arrière pendant le match, ça éclaire nos lanterne !

Voila voilou pour le moment !

Je n'ai qu'un seul mot à dire : SUPER!!!!

c'est toujours aussi bien écrit!!
comme toujours j'ai hâte de connaitre la suite ^^

Sa faisait longtemps que je l'attendais cette suite. Hourra ! Je sais, je mets du temps à comprendre, c'est parce que j'ai déménagé et que je suis revenue en Métropole.
Super n'empêche la suite, j'adore toutes les descriptions que tu fais, tout ça, c'est super. Continues sur cette voie !