La chance rectifie-t-elle le destin ?

Cette fic est terminée. Elle a déjà été publiée dans un autre forum, mais j'avais de la mettre quand même. Je posterais les suites au fur et à mesure de vos réactions et dites moi si ça vous plaît !!

Megane et Sebastien attendait à l'aèroport pour pouvoir entrer dans l'appareil. On leur avait annoncer qu'il y aurait 1h30 de retard. Cela exasperait Sebastien.

Sebastien: Si ça continue comme ça, on ne va pas pouvoir faire les matchs !
Megane: Detends-toi ! Tu sais ça ne commence que demain après-midi ! On a le temps. Ok, je vois qu'il est temps que l'on provoque la chance.

Elle prit dans son sac deux sandwiches

Megane: Voila! C'est ma grand-mère qui m'a donné cette recette. Sandwich aux crevettes et avec un ingredient secret !
Sebastien: Euh, je sais que tu es tres speciale, mais rassure-moi : ce n'est pas en mangeant ce sandwich que l'on va avoir de la chance ?
Megane: Mais si, mais si ! Tiens mange !

Elle lui coupa un morceau et voulu le lui faire manger comme un bébé. Sebastien l'arrêta tout de suite.

Sebastien :Merci mais je peux me nourrir tout seul !

[i]Il lui sourit et la regarda avec un regard si intense, qu'elle rougit et detourna la tête. Il était amusé par son comportement.

Une demi-heure plus tard, Megane vit que Sebastien faisait une drôle de tête. Elle le taquina :

Megane: Alors Seb, tu t'angoisses pour la compet'?
Sebastien: ...
Megane: Seb, ça ne va pas ? Sebastien !

Il était parti en courant. Elle prit leurs affaires personnels et essaya de le rejoindre. Il était au toilette.

Sebastien: Désolé que tu vois tout ça, ... mais... beuh!!!!

Il vomit. Megane avait une légère expressin de dégout mais se ressaisit. Elle ouvrit son sac, prit une serviette et la mouilla pour essuyer le visage de son ami.

Megane: Viens, je vais t'essuyer ton visage.
Sebastien: Je suis vraiment désolé, je.. euh... tu dois me trouver vraiment dégoutant...
Megane: Hey, c'est pas grave c'est rien ! Ca peut arriver à tout le monde !

Ils se regardèrent dans les yeux. Megane s'approcha de lui quand soudain il detacha sa main de son poignet pour retourner au toilettes.[i]

Megane:*Pauvre Seb !**soupir*...

Laissez moi vos coms !!!

Mégane : Pauvre Seb *soupir*
*********************************

Au même moment à Cascadia, Cody s’excuse auprès de Squib pour avoir informé Cameron, un joueur de l’équipe B qui est une gloire montante, de ses faiblesses.

Cody : Je t’en pris Squib, excuse moi, je ne savais pas qu…
Squib : Laisse tomber Mayers, le mal est fait, et puis il veut me défier aujourd’hui, en début d’après-midi.
Cody : Mais Squib !

Il était trop tard. Il était déjà parti, énervé. Cody se sentit coupable et elle regrettait ce qu’elle avait dévoilé à ce Cameron. Elle couru dans sa chambre et pleura de tout son corps. Elle revoyait dans sa tête le moment où il lui lança un regard noir. Sachant qu’elle l’ai blessé ainsi la rendait très malheureuse.

**********************************

( Pendant ce temps là, Sebastien se remettait de son malaise : il était temps !)

Sébastien : Ah, je vais beaucoup mieux maintenant ! Merci de m’avoir aidé Mégane !
Mégane : Zzzzzz…
Sébastien : Mégane ?
Il la regardait dormir. Elle était si jolie quand elle dormait, pensa-t-il. Il s’approcha d’elle et commença à l’embrasser sur la joue. Puis elle se reveilla :

Mégane : Hein quoi ?
Sébastien : Non, rien, je... euh... je voulais juste en fait te remercier de m’avoir aidé et de …
En cœur : L’AVION ! ! ! !

Ils rassemblèrent leurs affaires en quatrième vitesse et se dirigèrent vers la salle où ils étaient en train de patienter. Personne.

Mégane : Oh non, c’est pas possible ! Il n’y a plus personne ! L’avion est partie sans nous ! Plus de compétition, on est fichus !
Sébastien : Et tout ça de ma faute ! Je suis désolé Mégane, vraiment désolé.

Il s’approcha d’elle et voulu la prendre dans ses bras mais elle se détacha aussitôt.

Mégane : Tu te rends compte que c’était peut-être l’unique chance de notre vie ?
Sébastien : Attends, on va voir une hôtesse et on verra bien si on a une chance d’avoir un autre avion.
Mégane savait que c’était déjà fichus d’avance, mais elle le suivit quand même puisque c’était la seule chose à faire.
Sébastien : Oui, bonjour, alors voilà : nous sommes partis au toilette pendant que l’on devait attendre que l’avion appareille, puis quand nous sommes revenus, il n’y avait plus personne.
Hôtesse : Pouvez-vous m’indiquez quel vol deviez-vous prendre et vos nom s’il vous plaît ?
Sébastien : Nous devions prendre le vol 1735 en direction de Londres ( je ne sais même plus où ils devaient se trouver, faîtes le moi savoir s’il vous plaît merci !). Nous sommes Sébastien Dubé et Mégane O’Connor.
Il vit que l’hôtesse se méfiait d’eux et fit signe à un agent de sécurité de venir la voir
Hôtesse : Je pense que vous aller vous expliquez à la police. Nous avons enregistrés ces deux personnes et elles sont montés à bord de l’un de nos appareils.
Mégane : Seb, viens voir deux secondes.
Il s’approcha d’elle avec l’intime conviction qu’il allait passer un mauvais quart d’heure.
Mégane : Qu’est-ce que c’est que cet histoire ?*L’air énervée*
Sébastien *sourire nerveux* : Et bien tu vois… euh…
Mégane : SEBASTIEN ! ! ! !

Plusieurs têtes se tournèrent vers eux. Elle était rouge de colère et elle était prête à se jeter sur lui ( Quand je dis se jeter sur lui, je veux le frapper…).

Sébastien : J’ai … en fait j’ai… euh
Mégane : Dépêche toi Sébastien !
Sébastien *messe basse* : Bon, voilà, j’ai draguer la fille qui nous enregistrait pour qu’elle inscrivent nos noms en premier et pour que nous perdions pas de temps plus tard et j’ai fais ça uniquement pour t…
Mégane : Tu n’es qu’un imbécile ! Tu sais que maintenant la police va venir nous arrêtés et que nous serons jamais remboursés et que Bates va nous tuer !

Sébastien savait qu’il était inutile de lui demander pardon une autre fois. Cette fois-ci il avait compris qu’il avait dépassé les bornes.

En effet, comme l’avait prévu Mégane, ils furent conduit au commissariat le plus proche et ils durent y restés pendant d’interminables heures. Au bout de 4h d’interrogatoire et de recherche sur leur identité, il furent décuplés de tout vols d’identité. Ils sortirent enfin et Mégane prit la parole en premier.
Mégane : Il se fait tard, on devrait essayer de trouvé un hôtel où dormir je suis crevé…
Sébastien : Mais comment on va payer ?
Mégane : Bah, on va partager. Ta combien sur toi ?
( Bien sur, a part Cody, personne ne sait qu’il est un simple fils de restaurateur)
Sébastien : Je n’ai pas apporté d’argent.
Mégane *exaspérée* : Espérons que j’aurais assez d’argent pour payer deux chambres, ou au pire des cas si c’est une femme, tu pourras la séduire pour qu’elle nous fasse une réduction…

Sébastien ravala les paroles qu’il allait lui répondre et se persuada que c’était un idiot, tandis que Mégane se disait qu’elle avait été trop dure avec lui.

****************************************

Après un long et pénible moment ils arrivèrent près d’une ville. Mégane s’arrêta quand elle vit un panneau indiquer «hôtel The Sun : confort et bon marché ». Elle dit :

Mégane : Enfin ! Exactement ce qu’il nous fallait ! J’en peu plus, ch’uis crevée !

Le visage de Sébastien s’illumina. Il était plutôt content que « l’orage » de Mégane soit passé. Elle paraissait heureuse à présent, rien qu’à l’idée de pouvoir dormir dans un lit bien tiède et confortable. Ils entrèrent à dans ce fameux hôtel et leurs visages s’affaissèrent aussi rapidement qu’un ballon de baudruche quand il se dégonfle. Ils entendaient des bébés crier, des enfants hurler et même un homme au regard étrange qui avait l’air énérvé. Mégane pensa que c’était un trafiquant de drogue ou pire, un tueur en série. A cette pensée, son sang se glaça. De plus ils virent des cafards dans les coins des murs ; elle jeta un coup d’œil à Sébastien et s’observèrent en se disant dans les yeux : « On fait demi-tour ».

Sébastien : Encore heureux qu’on ait mangé tes sandwichs porte-bonheur où je-sais-pas-quoi, sinon qu’est-ce qu’il nous serait arrivés.
Mégane : Je te signale que tout ça, c’est de ta faute. Les français, toujours à draguer tout ce qui bouge.
Sébastien : D’abord : un, je me suis excuser ; deux, je voulais bien faire ; trois, les français ne drague pas tout ce qui bouge. Et puis de toutes façons on est pas pire que vous les canadiennes, à être hystériques tout le temps !
Mégane : Tu me traites d’hystérique ? Et toi alors ! Monsieur je suis le fils d’un ambassadeur, alors je sais que je fais craquer toute les filles et en plus je suis plein aux as avec ma voiture de sport, etc…

Il lui sourit en ayant l’air blessé.

Sébastien : Pour l’info, je ne suis pas un fils d’ambassadeur. A ton avis, pourquoi je m’absentais souvent à Cascadia ? Tu crois que c’était pourquoi ? Pour aller rencontrer les ambassadeurs du monde entier ? Pour assister à des fêtes mondaines ou encore pour faire des parties de golf avec des invités ? Toutes ces fois ou je partais de l’académie, j’allais aider mon père, simple restaurateur de fast-food à deux sous et gérant d’un bowling minable, je faisais et je fais encore la plonge, le serveur, le ménage. Toutes ces choses pour que je puisse jouer du tennis dans une école prestigieuse. Et il se peut que je ne finisse même pas mon année à cause de problème d’argent.
Je vous ait mentis car j’avait peur que vous ne m’acceptiez pas dans votre clan parce-que moi, le « français » ( il accentua sur le mot), je suis pauvre.
Mégane : Je suis désolée, je ne savais pas Seb…
Sébastien : Je ne veux surtout pas de ta pitié, et puis laisse tombé…

Il partit devant et marcha vite ; il s’était énervé contre elle et ne se disait même pas qu’il avait été trop dure avec elle. Pire il pensa qu’elle l’avait mérité. Mégane était toujours planté là et elle se sentit vraiment immonde de lui avoir dit toutes ces paroles monstrueuses.


A suivre…
( je vous poste la fic dans sa totalité )

Ils marchèrent durant 20 minutes en silence. Sébastien était toujours devant en marchant la tête haute, tandis que Mégane regardait ses pieds. Elle releva la tête et vit un jeune homme passer, il ne devait pas avoir plus de 20 ans.

Mégane : Bonjour, ou plutôt bonsoir. Vous ne sauriez pas par hasard, si il y a un hôtel dans le coin, plutôt confortable et à un bon prix ?
Homme : Euh, tu peux me tutoyer, tu sais !

Il se sourièrent.

Sébastien *tout bas* : Pfff, pauv’ tache…
Homme : Alors, tu tourneras à l’angle de cette rue et l’hôtel sera devant tes yeux, tes jolis yeux…
Mégane *sourire radieux* : Merci, euh…
Homme : Jay, je m’appelle Jay, et toi ?
Mégane : Moi c’est Mégane.
Sébastien : Bon, désolé de t’interrompre mais on est pressé, salut.

Elle le regarda d’un air mauvais et partie après avoirs salué Jay. Elle avait le sourire au visage et il y avait longtemps que personne ne lui avait de compliment sur son physique, tandis que Sebastien était vert de jalousie. Un orage gronda et fit sursauté Mégane et elle se mit à courir pour arriver plus vite à l’interieur de l’hôtel.

Sébastien : Hey, attends moi ! Tu as peur de l’orage, c’est ça ?
Mégane : Mais nan, je … euh … je suis juste fatiguée et je… veux juste dormir le plus vite possible…
Sébastien : c’est sur que lorsque on est fatigué on court comme au marathon !
Mégane : Oui, bon d’accord, j’ai peur de l’orage, depuis que je suis petite, j’en suis traumatisée…
Sébastien * Voix douce* : Et pourquoi ?
Mégane : Un jour je me promenait avec mon grand-père dans un par cet il est mort car il s’est fait éléctrocuté… C’est bon va-y rigole comme tout le monde a qui je raconte cette histoire, va-y tu peux même te rouler par-terre.
Sébastien : Tu crois que je vais rire ? Un homme qui meurt pendant qu’il souffre et je vais rigoler ? Même si ça serai marant, au moins par respect je ne rigolerait pas.
Mégane : Merci

Elle esquissa un sourire qu’il le lui rendit.

Mégane : Bonsoir madame, que pourrait-on avoir avec… euh… 29$65 ?
Hôtesse : Je suis désolée jeunes gens, mais la prix minimum d’une chambre est de 35$
Mégane : ah… je vois

L’hôtesse vit Mégane observer au dehors et se mit à lui dire.

Hôtesse : Allez ça ira pour cette fois je vous laisse la chambre et je vous fait grâce des 5$35
Mégane : Merci beaucoup !

Ils montèrent dans la chambre au 6ème étage. Arrivés à la porte 13b ( chiffre porte-bonheur ou signe de malchance ? vous verrez ! ) , ils soufflèrent.

Mégane : Quand je pense que l’on va dormir dans un lit bien tiède ! !
Sébastien : Vite ouvre la porte !

Leurs sourires étaient si grands, qu’ils allèrent d’une oreille à l’autre. leurs visages s’affaissèrent dès qu’ils virent ce qu’il les attendait. Tout était parfait pourtant : Une télévision en état de marche, un fauteuil, un bureau, deux armoires pour y déposés leurs affaires personnelles et un SEUL grand lit pour deux. Ils se regardèrent l’air géné et Sébastien lâcha :

Sébastien : Soyons logiques, comme c’est toi qui a payé, c’est toi qui dormira dans le lit et moi je prendrai le fauteuil.
Mégane : Mais non, on … va … enfin bref, chacun prendra l’autre bout du lit et puis ça ira, et puis c’est tout je veux dire…

Seb ne préféra pas répondre ; il acquiesça seulement.
Ils s’installèrent et regardèrent la télévision.

Mégane : Pff, j’en ai marre, il n’y a jamais rien à la télévision, si seulement il y avait un match…
Sébastien : Regarde, c’est les infos.
Mégane : Sportive ?
Sébastien * buvant un soda*: Je sais pas, monte le son …

Présentarice tv : … En effet, le crash à eu lieu en milieu de journée, sur les côtes anglaises.
Présentateur : Oui, nous avons d’autres informations. C’était le vol 1735 en direction de Londres…

Sébastien recracha son soda, tandis que Mégane, elle, s’étouffa avec le dernier morceau de son sandwich.

Présentatrice tv : … Suite à un problème technique, le boeing perdait de l’altitude et s’écrasa, mais les autorités pencherait pour la perte de connaissance du commandant de bord.

Sébastien et Mégane se regardèrent et Mégane frissonna. Sébastien lui prit la main.

Sébastien : Au moins maintenant tu peux dire que tes sandwich porte vraiment bonheur… dit-il d’un air grave

Mégane et Sébastien étaient encore sous le choc en apprenant cette nouvelle. Aucun des deux ne s’adressèrent la parole et chacun était perdu dans ses propres pensées.

Mégane : *Dire qu’on serait mort en ce moment, qu’on aurait pu avoir un bras ou un jambe a à cinq mètres de nous…*
Sébastien : *J’arrive pas à y croire ! C’est peut-être un signe du destin qui veut me dire qu’il faut absolument que j’avoue mes sentiments à Még…*

Mégane : Heureusement que tu étais malade ! Je crois que je ne pourrais jamais assez te remercier pour ça ! La prochaine fois que tu seras malade je prendrai ça comme un signe !
Sébastien : Hein ? ! Ah, euh…oui, oui…

Il reprit ses esprits et la regarda.

Sébastien : Tu sais Mégane, je voulais te dire quelque chose depuis si longtemps…

*TOC TOC TOC*

En cœur : Oui ?
Quelqu’un : Livraison !
Mégane : T’as commandé un truc toi ?
Sébastien : J’allais te poser la même question !

Il se leva et ouvrit la porte. Un homme avait des paquets à la main. C’était Jay, le jeune homme qu’ils avaient vu une heure auparavant.

Jay : Hey, salut ! Tu serais pas le gars qui accompagnait la jolie demoiselle tout à l’heure ?

Mégane reconnu tout de suite sa voix et se mit derrière Sébastien pour aller le saluer mais elle n’en n’eut pas le temps.

Sébastien : Mouais. Tiens tu sais ce que tu vas faire ? Tu vas aller voir ailleurs si j’y suis, ok ?
Jay : Hey mais il t’arrive quoi là ? Tu as peut-être cru que j’étais ton ch…

Il lui claqua la porte au nez.

Sébastien : Bon vent !
Jay : Imbécile !

Mégane *légèrement énervée* : Qu’est-ce que tu as fait ? T’es fou ? !
Sébastien : Non, je suis juste réaliste ! Ce genre de mec te fait la causette pour qu’après vous vous retrouver dans le même lit …
Mégane : Quoi ? Mais tu ne le connais même pas ! Et tu le juges ! ?
Sébastien : Toi non plus tu ne le connais même pas !
Mégane : Et pourquoi tu veux me protéger maintenant hein ?
Sébastien : Parce-que je t’aime.
Mégane : Bah voyons ! C’est parce-que tu m’aimes que tu me protèges pour rien et puis ça se trouve qu’il est super sympa et que… attends, répète ce que tu viens de me dire ?
Sébastien : Je t’aime Mégane.
Mégane : Mais…mais…
Sébastien : Attends laisse-moi m’expliquer. Je… j’ai mal réagi, parce-que j’étais jaloux, je pense. Et tu est si gentille, si belle, si…

Mégane s’approcha de lui et l’embrassa. Leur baiser dura plus de 5 minutes

Mégane *en chuchotant* : Moi aussi je t’aime.

Leurs sourires était complices et leurs fronts étaient collés à présent.

Attends, je reviens, je vais me changer.
Mégane acquiesça. Il lui déposa un baiser sur son front et parti dans la salle de bain, tandis qu’elle se changea en quatrième vitesse dans la pièce et sursauta. Un éclair plus lumineux et plus fort que le précédent venait de s’abattre près de l’hôtel. Elle se cacha dans les couvertures du lit. Elle tremblait de peur et ferma les yeux. Elle sursauta de nouveau.

Sébastien * en chuchotant * : Hey, ça va, c’est moi, n’aie pas peur je suis là, tout va bien…

Il avait son nez de ses cheveux. Il respirait son odeur naturelle et s’en imprégnât les poumons comme si celle-ci avait des vertus bénéfiques. Ses mains entouraient à présent la taille de Mégane et elle se sentit en sécurité et s’endormit en se disant que ça sera la plus belle journée de sa vie. Sébastien, lui, avait la même pensée.

Squib se promenait dans Cascadia, il n'était pas énervé, ni fatigué et encore moins heureux. Voila son problème : son père était sans cesse sur son dos à lui rapeler toutes les prouesses de Ryan, son grand-frère, mort.
Tout val mal pour ce pauvre Squibby !! Et le match contre Cameron n'arrangeait pas les choses...

Quant à Cody, elle comptait jusqu'à les secondes avant le match décisif. Elle observait les deux concurents. Cameron était confiant ; on ne savait jamais si il était heureux, triste, énervé ou encore mort de rire, alors que Squib... Elle le vit se diriger vers le lac et hésita à le rejoindre.

Cody : *Allez, va-y, le pire qu'il puisse te faire c'est t'envoyer balader...*

Il entendit des pas , mais il ne s'en soucia guère.

Cody *petite voix* : Salut Squib...
Squib *en pleurant et il ne se retourne pas* : Salut Mayers
Cody : Tu...tu pleures ??!
Squib : Nan, je transpire des yeux, ça se voit pas ? Pourquoi ça t'étonne ?
Cody : ...
Squib : A oui c'est vrai comme le dit mon père...
Cody : Que tiens-tu dans ta main ? Squib... ?
Squib : ... comme le dit mon père... * plante une arme sur lui * ... il n'y a que les fillettes qui pleurent...vu que j'en suis une...et plus rien ne me retiens ici ...
Cody : Mais qu'est-ce que tu fous ?!! ARRETE SQUIB !
Squib : Ah oui ? Et pourquoi ?
Cody : Mais tu es fou ?
Squib : Donne moi au moins 3 bonnes raisons de ne pas tirer. Va-y, je t'écoute...
Cody : ...
Squib : Je me disais aussi qu'il n'y en avait aucune... * sourire narquois *
Cody : Et ta famille alors , elle ne compte pas pour toi ,
Squib *rire jaune* : Ma famille ? ...c'est plutôt moi qui ne compte pas pour eux !
Cody : Et tes amis Adéna, Mégane et Sébastien ? Ils ne comptent pas pour toi ?
Squib : Oui, mais...
Cody : Et le tennis ?
Squib : Oui, mais...
Cody * en pleurant et à voix basse* : Et même moi je ne compte pas pour toi...
Squib : Mais bien sûr que si tu comptes pour moi ! Enfin je veux dire...
Cody : ... ?
Squib : Tu vois ce que je veux dire ?
Cody : Tu veux dire en amie, c'est ça ?
Squib : Oui...*reflechissant ( Et oui Squib reflechit !! lol )* Non...
Cody : Comment alors ?
Squib : ...
Cody : ...
Squib : Comme ça...

Il s'approcha d'elle et Cody fit de même. Leurs visages étaient à 5cm d'écart l'un de l'autre et ... BOUM ! En s'approchant, ils actionnèrent la détente et une balle fût tirée en direction de l'abdomen de...

Je posterais la suite si ça vous plait, laissez moi des coms svp!!!!

j'adore ta fic je l'avais déjà lu sur un autre forum
et sa fait plaisir de la relire
continu comme ca!!!!!

J'aime beaucoup!!! c'est trop bien!! Par contre pourquoi tu nous laisse dans un tel suspens? Alors que Squib et cody s'étaien retrouvés...

La balle partit en direction de Cody. Environ un quart de seconde après que le coup de feu est retentit,
elle s'effondra et se convulsa.

Squib : C... c... Cody !

Cody saignait du nez et des larmes de sang coulaient sur son visage crispé par le choc. Le tir avait
raisonné dans tout Cascadia et les élèves faisait régner un silence religieux. Seule Adéna était arrivée
en courant et avait trouvée l'endroit d'où proveait le bruit.

Adéna : Squib ! Oh dieu merci ! Tu n'as rien... Non...

Elle s'approcha de Cody et se mit aussi à genoux près d'elle et essaya de lui parler pour ne qu'elle ne
ferme pas les yeux.

Squib * en pleurant et à genoux * : Tout ça c'est de ma faute !
Adéna *qui commençait à pleurer* : Ok je vais aller chercher du secours et tu restes près d'elle. Je fais vite...*en train de courir et dans sa tête se dit*... très vite...

Exactement 3 minutes et 37 secondes plus tard Adéna arriva, accompagnée de Bates et du Docteur Mayers.
Bates prit son telephone et apela sur le champ le SAMU canadien. Mais bizarement, M.Mayers paraissait étrangement calme mais au bout de quelques secondes, on vit que c'était le choc qui ne le faisait pas réagir.

Les secours arrivèrent avec deux medecins compétents.

1er médecin : Vite dêpechez-vous, on risque de la perdre.
2ème médecin : Olala, c'est pas bon signe du tout, elle rejette du sang par voix buccale...

Les médecins l'emmenèrent das un brancart pour la transporter à l'hopital. squib était debout en train de la suivre des yeux mais ne réagissait pas. Rien n'est plus effroyable que de savoir que l'on à fait énormement de mal à la personne que l'on aime le plus sur Terre...

*******************************************
( double suite )
Squib était toujours là, immobile, pétrifié, quasi sans vie. il avait l'imlpression que des heures s'étaient écoulées mais en réalités seulement quelques petites secondes. Il sentit qu'on lui prenait le bras et qu'on le dirigeait vers l'ambulance.

M.Mayers : Squib, viens avec Adéna et moi-même àl'hopital, depêche toi s'il te plaît.
Squib *reprenant ses esprits* : euh... oui d'accord ...

L'hôpital était bondé en cette période de l'année. Quand ils arrivèrent les deux médecins furent rejoins par le médecins en chef et par trois infirmiers. L'un des infirmiers était une femme et avait indiqués trois places pour les deux élèves du groupe A et leur psychologue. Adéna prenait Squib dans ses bras en lui murmurant des mots comme " ça va aller" ou encore "elle va s'en sortir". Ils n'entendaient absolument rien de la salle d'opération et la même infirmière revint les voir.

Infirmière : Monsieur Mayers ?
M.Mayers : Oui, c'est moi.
Infirmière : Je voudrais vous parlez en priver s'il vous plaît.

Squib et Adéna relevèrent leurs têtes en direction du docteur Mayers qui les observait aussi.

M.Mayers : pourriez-vous les autoriser à venir aussi, comme ceux sont les amis de ma fille, vous comprenez...
Infirmier : Oui, c'est d'accord mais je vous préviens si ils sont vraiment très proches ça ne va pas être facile à entendre même pour vous.

M.Mayers acquiesça et tout les trois suivirent l'infirmière. ils entrèrent dans un couleur et entendirent le son quue faisait la machine qui suit les battements de coeur. C'était les battements du coeur de Cody.
On voyait Cody avec des tuyaux qui l'aidait à respirer artificiellement et les deux médecins qui étaient venus avec l'ambulanceétaient présent dans la salle. La salle en question était plutôt bleue et légèrement sombre. Pas trop petite ni trop grande c'éatit un peu la taille idéale et une grande vitre en face permettait aux visiteurs de la voir. des sièges y étaient installées et Adéna s'y assit en compagnie de Squib. ils avaient beaux être côtes à côte, maisleurs pesées étaient très lointaines comme si ils étaient en transe.

Infirmière : voilà, M.Mayers, je ne vais pas vous mentir votre fille va très mal. Elle à peu près 15% de chance de s'en sortir et seulement 5% de chance de retrouver une vie normale et être parfaitement en bonne santé.
M.Mayers : Ce..ce n'est pas possible ! Mais que lui est t'il arrivé ?
Infirmière : La balle qui à été tiré à perforé le poumon et à toucher le coeur. Elle dans un coma très profond et son état est stable. dans les prochaines minutes ou heures, si son état change ça peut être bon signe mais son coeur peut aussi lacher et on ne peut lui faire de transplantation.

Le docteur Mayers était effondré. Squib se leva et lui dit.

Squib : Docteur Mayers, tout ceci est de ma faute.
M.Mayers : Pardon ? C'est toi qui à tiré ?

A suivre...

Ouahhhhhhhhhhhhh c'est superrr ! mdrr mais j'espère que cody en mourera pas sniff ! squodyyyyyyyyyyyyyy :cryiiing: :cryiiing:

Je vais tout poster jusqu'a la fin, si ça vous interresse toujours. Bonne lecture !

Après quelques secondes de silence, le père de Cody reformula sa question.

M.Mayers : C'est toi qui a tiré ? Mais comment tu as pu faire ça ?
Squib : Nan ce n'est pas moi qui ai tiré, en fait si mais non. J'avais le moral à zéro et j'avais pleins de problèmes en tout genre, etc... et j'étais partis près du lac pour reflechir et je voulais me servir de cette arme pour... pour... enfn bref, et Cody m'a suivi. on a discuter et tout et...et... *commença à pleurer* je me suis approcher d'elle pour l'embrasser et quand on s'est appuyé tout les deux la balle est partie... *en pleurant de tout son corps* je suis désolé, désolé et je ne veux pas qu'elle meure et par ma faute...
M.Mayers *prit Squib dans ses bras* : C'est bon je suis sur que ça va allez enfin j'éspère et puis tu sais cody est assez for...

BIP BIP BIP BIP BIP BIP BIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIP

Médecin en chef : On est en train de la perdre, appelez les infirmiez et un medecin libre, vite !

Adéna se leva d'un bond et fut térifiée, autant que M.Mayers. Squib, quant à lui, se détacha du docteur et colla son front à la vitre qui le séparait de Cody.

Après vingt minutes à essayer de la réanimer, les médecins abadonnèrent et concluèrent par :

Médecin en chef : C'est bon ça suffit il n'y a plus rien à faire, heure du décès 16h42. Je vais aller prévenir le père, la jeune fille qui doit être son amie et le jeune homme apparrament son petit ami, ça va être dur à leur annoncer je le sens.

Les trois autres avaient compris et se mirent à pleurer.

Squib : Non pitié c'est pas vrai tu ne peux pas être morte ce n'est pas possible je t'en pris reveille toi, s'il te plaît tu ne peux pas savoir à quel point je t'aime telement...
M.Mayers : Arrêtes Squib il n'y a plus rien à faire c'est fini elle est ...

Au moment ou l'un des infirmiers allait débrancher l'appareil, on pouvait entendre :

Biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiip bip bip bip bip bip bip

Infirmier : Docteur, docteur son coeur repart !
Médecin en chef : Mais, c'est impossible !

Médecin en chef : Mais c'est impossible !

***************************

Mégane et Sébastien sont sur une route en début de soirée en train de marcher pour essayer d'être à Cascadia avant le lever du soleil du lendemain. Aucune voiture à l'horizon, seulement un nouveau couple marchant main dans la main et de temps en temps se jetèrent des coups d'oeil d'un air passioné !

Sébastien : Alors Meg, pas trop fatiguée ?
Mégane : Puisque tu le dis... si !
Sébastien : Donc si tu veux, je peux...
Mégane : Tu peux quoi ?
Sébastien : Je peux... te porter !

Sébastien la prit et la fit tourner en rond pendant plusieurs minutes, ce qui suscita le rire des deux amoureux.

Mégane : C'est bon, ta gagné j'ai la tête qui tourne maintenant ! Fais moi redescendre s'il te plaît !
Sébastien : Oui tu as raison, je te fais redescendre, tu es un peu trop lourde à mon goût !
Mégane : Qu'est-ce que ça veut dire ? Tu insinus que je suis grosse ?
Sébastien * en essayant de faire enrager sa promise*: Parfaitement !

Mégane se mit à courir après un Sébastien qui lui cherchait plusieurs noises et qui adorait voir le visage enragé de Mégane. Elle réussi à le rattraper et sauta sur son dos pour qu'il la porte.

Mégane : Voilà ta punition ! Me porter jusqu'à Cascadia !
Sébastien : Quelle bêtise ai-je encore faîtes ?
Mégane : Pardon ?
Sébastien : Absolument rien chere madame, je suis votre humble serviteur !
Mégane : serviteur oui, mais humble... hum !
Sébastien : Attention !
Mégane : Et bah quoi ? Bon allez on arrête de trainer et HU !
Sébastien : J'ai dit que j'étais un serviteur pas un âne !

Après avoir parler, Sébastien partit au galop... euh je veux dire aussitôt !

*********************************

Le médecin en chef n'en croyait pas ses oreilles.

Quelques heures plus tard, après qu' Hartley Mayers et Adéna ont rendu visite dans la chambre à Cody, ce fût au tour de Squib de venir la voir. Il était entrer dans la salle et s'assit près d'elle. Il n'eut tellement pas la notion du temps qu'il ne se rendit même pas compte que l'heure des visites était terminé, et ce depuis déjà... 3heures ! Il la contempla, passa sa main dans les beaux cheveux roux de Cody et lui caressa la joue. Il fut si fatigué, qu'il s'endormit dans ses bras qui étaient appuyé au bras de Cody.

*********************************

Toujours sur le dos de Sébastien, Mégane observait le "magnifique" paysage qui s'offrait à elle... une zone industrielle.

Mégane : Qu'est-ce que c'est que cette odeur ?
Sébastien : Mais, c'est l'odeur des... des...
En coeur : Mmmh ! des HAMBURGERS !
Sébastien : c'est bizarre qu'il y a une odeur d'hamburger dans une zone industrielle ! Vraiment bizarre... POUAH !
Mégane : Ah ! C'est dégoutant !

En effet, apparament même les odeurs pouvaient être des mirages, car ce n'était pas des hamburgers, mais les poubelles qu'ils sentaient !

Mégane : Seb, regarde !

Il leva la tête et la regarde montrer du doigt quelquechose très loin un peu vers le ciel.

Sébastien : Oui d'accord Mégane, les nuages sont très beaux, et il y en a qui ressemble à des petits chevaux, c'est très bien Meg tu auras un bonbon si tu continue à rester sage...
Mégane * elle fit une tête qui ressemble a peu près à ça* :
-__________________________________-
Très drôle ! Mais non, c'est pas ça ! tu ne vois pas là-bas ?C'est le drapeau de Cascadia !

Il releva la tête si vite qu'il fit tomber Mégane en arrière.

Mégane : Merci, sympa...
Sébastien * à genoux, en priant au dieu du tennis at oui même les tennismen ont un dieu...* Hallelujah !(je crois que ça s'écrit comme ça) merci, merci, merci, merci mille fois !
Mégane : Euh, Sébastien, c'est moi, ou j'ai l'impression que tu es plus content de retrouver ton école de tennis que de sortir avec moi ?
Sébastien : Tu es sure que tu veux que je te réponde ?
Mégane : Tout compte fait pas vraiment...

Mégane : Tout compte fait pas vraiment...

******************************

Le lendemain matin, Squib sentit une main lui caresser les cheveux et il repondit :

Squib : Arrêteuh... Seb, arrête de faire... semblant que c'est... Cody qui me caresse les cheveux... et ne l'imite surtout pas s'il te plaît...

Il entendit un rire très fort et leva la tête avec la mine tellement fatiguée qu'on aurait qu'il n'avait pas dormit pendant une semaine. Il vit une petite tête rousse et de magnifiques yeux bleus qui lui sourire.

Cody : Salut Squib ! Tu vas bien ?
Squib : Quoi ? Tu... enfin c'est toi qui me demande si je vais bien ? Tout d'abord, toi est-ce que tu vas bien ?
Cody : Bah oui ! Pourquoi tu me demande ça ?
Squib : Quoi ?
Cody : Feur !! Bon serieusement, revenons a nos moutons. Que fais tu endormit à genoux, sur mes genoux dans la salle de Mlle Willey ? Euh et en plus Squib, euh... tout la classe se moque de toi là !

Squib baissa la tête et vit qu'il était à genoux et se leva et observa toute la classe morte de rire. Mlle Willey était si enragée qu'elle punit toute la classe d'exposé sur le gouvernement canadien. Tout les élèves se levèrent et se ruèrent sur le pauvre Squib qui n'y comprenait rien.

Squib : NOOOOOOOONNNNNNNNNNNNN!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Infirmière : Jeune homme, s'il vous plaît ! On ne crit pas dans l'enceinte de notre établissement ! Et en plus près d'une malade très fragile cardiaquement !
Squib *en sueur* : Mais..mais.. .mais... où suis-je ?
Infirmière : Voyons vous êtes dans un hopital ici ! Et si vous pouvez sortir quelques minutes, je dois faire le vaccin de mlle Mayers, merci.

Il reprenait ses esprits peu à peu et vit Cody allongée, le visage paisible et faible. La voir comme ça lui fendit le coeur.

**********************************

Pendant ce temps là, à Cascadia, Bates reçu un coup de fil qui lui fendit le visage.

Bates : Allo ? Mr Bates à l'appareil, le president de la fabuleuse école de Tennis du monde, j'ai nommé Cascadia, bonjour !
Tél. : .........
Bates : Oui, ces deux élèves sont inscris dans notre école, oui...
Tél. : .........
Bates : oui...
Tél. : .........
Bates : Comment ? Vous... vous en êtes sur ? Oh non...
Tél. : ........
Bates : Euh, oui... Merci... et au revoir...

Il médita dans son bureau pendant plusieurs minutes avant de decider d'appeler Gunnurson pour lui annoncer la triste nouvelle ( Je vous laisse deviner laquelle...).

Adéna et Sunny, qui avaient savourer leur victoire il y a de cela une demi-heure, pleuraient maintenant toute les deux.

Adéna : Pendant qu'on étaient en train de rire et de faire la fête eux ils étaient ... étaient... oh non j'arrive pas à y croire, d'abord Cody qui frôlent la mort et ensuite ma meilleure amie et Sébastien... *pleure très fort*
Sunny : J'aurais préféré partir à leur place, car eux ils manqueront à plains de gens alors que moi, je ne manquerais à personne...
Adéna : Ne dis pas ça tu sais nous on t'aime bien dans le fond tu sais, mais comme tu nous rabaisse tout le temps...
Sunny : ceux qui étaient le plus sympa avec moi ici je dirais que c'étaient eux deux, ils étaient et seront toujours si gentils...

*******************************

Le docteur rendit visite à sa fille et vit toujours Squib, près d'elle en train de la contempler. Evidemment, M.Mayers connaissait la terible nouvelle et decida d'en avertir Squib.

M.Mayers : Bonjour Squib.
Squib : Oh bonjour monsieur.
M.Mayers : Je pourrais te parler, dans le couloir, s'il te plaît ?
Squib : Oui, bien sur.

Il se leva et fit le moins de bruit possible avec sa chaise. Son coeur battait assez vite et cru qu'il allait lui annoncer une mauvaise nouvelle sur Cody.

M.Mayers : Squib, j'ai une mauvaise nouvelle à t'annoncer.
Squib *Oh non, c'est pas vrai, pas ça, pas ça, pas ça* : Laquelle.
M.Mayers : Tes amis, Mégane et Sébastien, sont morts dans un accident d'avion...
Squib :*sont morts dans un accident d'avion, sont morts dans un accident d'avion, sont morts dans un accident d'avion...*
M.Mayers : Au large des côtes anglaises, il y a eu un grave problème technique...

Squib allait s'effondrer par terre quand Le docteur le rattrapa aussitôt.

*****************************

Les filles continuèrent de disctuer, et deux heures plus tard, elles furent interrompus par un Squib éssouflé et en sueur devant elles...

Squib : Ne... me... dites... pas... qu'ils...sont...
Sunny : Morts ! Si !

Le visage du grand Gary Furlong s'assombrit. Sunny tendit sa main à un Squib étonné qu'elle fasse ainsi et se laisser guider par la jeune fille. Elle se leva, prit sa main et le ramena entre adéna et elle-même pour souffrir en silence, ensemble...

****************************

Mégane et son "frenchie" arrivèrent devant la grille de leur école. Ils se regardèrent et s'embrassèrent une dernière fois avant de se cacher pendant toute leur scolarité.

Mégane : Attention ! Les hors-la-loi-de-cascadia-du-cher-president-Bates arrivent !
Sébastien : Euh, ai-je le droit à un autre petit bisou ?
Mégane : A condition qu'il ne soit pas petit !
Sébastien : Vos désirs, sont des ordres !

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Ils s'embrassèrent tellement longtemps qu'un quart d'heure était passé !
Ils entrèrent par les grilles et virent tout les élèves rassemblés au même endroit.

Sébastien : Qu'est-ce qui leur arrivent ?
Mégane : Alors là, j'en sais vraiment rien...

Ils s'approchèrent et Sébastien vit Squib et l'appela :

Sébastien : Squib ! Hey Squib !
Squib *à Adéna et Sunny* : Maintenant, je délire j'entends,Sébastien m'appeler...
Adéna : Ouais... moi aussi
Sunny : C'est pas toi qui délire, c'est vraiment Sébastien !
Squib : Maintenant on est trois...
Il leva la tête et vit le visage souriant et interrogateur de son meilleur ami. Il n'en croya pas ses yeux.

Adéna, Sunny et Squib : SEBASTIEN ???????????!!!!!!!!!!!!!!! ET, MEGANE ??????????!!!!!!!

Au fur et à mesure que Mégane et Sébastien s'approchaient, les trois autres top guns reculaient et s'effrayaient en se posant pleins de questions.

Après un long moment d'explication à tout les élèves de Cascadia, aux professeurs, à l'entraineur Gunnerson, au docteur Mayers et au Président Bates, ils comprirent mieux, mais pas tout à fait, car ils n'ont pas compris pourquoi l'avion était partit sans eux... Avec toute les histoires qui se sont passées, Bates leur accorda un repos de deux semaines : Le président devenu en l'espace d'une minute le personnage le plus détésté de Cascadia au personnage adoré de l'école de tennis...

Squib : Eclairer ma lanterne, comment se fait-il que vous ayez enregister vos bagages, et que l'avion est partit sans vous ? Normalement il y a le dernier enregistrement qui s'effectue juste devant l'appareil, non ?
Sébastien : oh, tu sais, c'est une longue histoire, j'vais pas t'encombrer avec ça...
Mégane : Mais tu sais que maintenant *elle mit son bras sur son épaule*, on a tout notre temps ?
Sébastien : Notre temps pour quoi * Avec un sourire qui faisait peur et qui dégoutait Mégane* ?
Mégane : Tu es dégoutant ! Et puis je m'en vais !

Elle s'en alla et fût vite rejointe par Adéna.

Sébastien : Mais attend, Meg ! Je plaisantait ! Et toi Squib, ne rigole pas car tout ça c'est de ta faute !
Squib * était mort de rire pour la première fois depuis ce qui était arrivé avec Cody* : Nan, mais si tu aurais vu ta tête ! Tu lui as vraiment fait peur ! Et puis ce n'est pas de ma faute, j'ai pas dit de lui faire croire que tu était un violeur !
Sunny : Bon, c'est pas que je m'ennuie... en faîtes si je m'ennuie et j'y vais, tchao !
Sébastien : Ouais, c'est ça... Essaie de faire la même tactique à Cody * Squib arrêta de rire sur le champ* et on vera comment elle réagira.
Squib : A Cody ?... De toute façons ellle ne réagi à rien du tout...

Le regard de Squib s'assombrit à nouveau. Et Sébastien le remarqua.

Sébastien : Attends comment ça elle ne réagi à rien du tout ? Explique moi !

Pendant que Squib expliquait le malheur qu'était arriver à sa Cody, Mégane était très énèrvé et Adéna demandait des explications.

Adéna : pourquoi tu t'es énèrvée comme ça ? t'es folle ou tu l'fait exprès ?
Mégane : Quoi ? Mais t'as vu comment il a fait ? Crois moi il a intêret à se faire pardonner, sinon ça va barder pour lui..
Adéna : NAN ! arrête c'est pas vrai ! Vous sortez ensemble ?

Elle gloussa si fort qu'elle s'étouffa.

Mégane : Mais tais-toi ! T'imagine si quelqu'un nous entends ?
Adéna : C'est bon excuse moi...

Quelques courtes secondes se sont passées en silence entre les deux meilleures amies du monde, puis d'un coup elle éclatèrent de rire en même temps et faisaient danser les doigts de l'une contre l'autre. Mégane lui racontait tout ce qui s'était passé de A à Z et trouva cela très romantique et absorbait chaque détails et avait même les larmes aux yeux ! Ce n'est un feuilleton Adéna, mais la pure réalité !

****************************

Sébastien : Dans le coma ? On pourra aller la voir ?
Squib : Bah oui, si tu veux...
Sébastien : Je comprends ce que tu dois ressentir...
Squib : Non, je ne pense pas...
Sébastien : non je voulais dire d'avoir peur de perdre celle qu'on aime...
Squib : bah oui c'est... mon amie...enfin notre amie j'veux dire.
Sébastien : Arrêtes, ne te voile pas la face tout le monde c'est que tu es complètemet fou amoureux de Cody !
Squib : Quoi ? Mais c'est pas vrai !
Sébastien : Excuse moi, je me suis trompé ! Tout le monde sauf toi !
Squib : Pfff, n'importe quoi c'est juste mon amie et puis c'est tout.
Sébastien : T'en es sûr ?
Squib : ...
Sébastien : Ne repond pas je connais déjà la réponse. On y va ?
Squib : Hein ?
Sébastien : A l'hopital, on y va ?
Squib : Ouais d'accord.

**********************************

Les garçons étant partis, Adéna prévint Mégane de ce qui était arriver à Cody. Cela boulversa Mégane et une idée vint dans sa tête : cela l'effrayait.

**********************************

Adéna : Mégane, qu'est-ce que tu fais ? T'es devenue folle ou quoi ? Ne me dis pas que tu va aller courir là !
Mégane : mais non, pire je cherche quelquechose...mais...ah le voilà...je crains que ce qui va arriver va être la pire chose au monde...
Adéna : Lire un livre, ça va être la pire chose au monde ? T'as raison, lire rend la mine affroce et ça rend les yeux rouges ! Une horreur !
Mégane : Et c'est moi qui est devenue folle... regarde, c'est un livre sur la vie et la mort que m'a offert Cody. Il y a un passage qu'elle a surligné et c'est pas bon signe du tout, si on y croit...
Adéna : Attends, donne je vais le lire : " L'ange de la mort est un être qui est absolument neutre. Il n'est ni bon, ni mauvais. Il réclame les morts qui lui sont dûs, et peut importe pour lui qui sont ces personnes. Seulement chose : si qui conque personne echappe à la mort, de telle manière que se soit, par chance ou par accident, une personne de son entourage se vera être forcée d'être la proie de la Mort, que se soit un humain ou ..." ...
Mégane : Seulement si on y croit...
Adéna : T'as raison, seulement si on y croit...

Squib emmena donc Sébastien à l'hopital.

Squib : Et voilà, ça y est, on est devant la porte de sa chambre.
Sébastien : Tu veux qu'on entre tout les deux en même temps, ou alors chacun son tour ?
Squib : Va-y entre toi le premier, tu ne la jamais vu comme ça ...
Sébastien : je préfère que tu viennes avec moi, tu vois, la voir comme ça, enfin tu comprends...

Squib acquiesça. Ils entrèrent dans la pièce ou séjournait Cody, déjà depuis une semaine. Squib sentit que son ami eu un choc en la voyant et ne fût pas du tout étonné. Sébastien s'assit sur une chaise et l'approcha du lit. Il la regarda et se remémora tout les moments passés avec elle. Les secrets partagés et les rires aussi... Il la considèrait comme une soeur, comme sa soeur, c'est pour cela qu'ils sont devenus amis très vite.
Une heure en silence à observer leur amie et le portable de Sébastien sonna. C'était un message de Mégane : voilà exactement ce qui était écrit :
" Slt Seb, c Meg. Je voulé mexcusé de metre prise de 7 fasson ac toi. Ad m'a apri la nouvel a propo 2 Cody et sa ma fai un choc. Bref rick ma di ke tu été parti ac squib a lopital et je mi rendrai dem1 ac ad. @+ jtm."
(Pour ceux qui ne comprenne peut-être pas le language sms, je le retape version bon français : " Salut, Seb, c'est moi Mégane. Je voulais m'excuser de m'être prise de cette faços avec toi. Adéna m'a appris la nouvelle à propos de Cody et ça m'a fait un choc. Bref Rick m'a dit que tu étais partis avec Squib à l'hopital et je m'y rendrais demain avec Adéna. A+ je t'aime." )
Sébastien sourit et decida de la rejoindre.

Squib : Qui c'est ?
Sébastien voulait essayé d'avouer à Squib qu'il sorte ensemble sans trop le blesser par rapport à Cody, mais ne trouvait pas les mots. Il n'eût pas à le faire, Squib s'empara de son portable.

Squib : Tu savais que ça existait, les portables couleurs ?
Sébastien : Et tu savais que ça coûte cher un téléphone mobile de nos jours ?
Squib : Je t'en pris ! Pour toi, fils d'un ambassadeur, je ne crois pas que tu comptes chaque cent ! Alors ça y est, c'est officiel maintenant ?
Sébastien *Qu'est-ce qui est pris officiel ? Le fait que je suis pauvre ?!* : Quoi ?!
Squib : Vous sortez ensemble maintenant ?
Sébastien : Euh bah oui, oui. tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureux ! * Boulette !*
Squib : T'as raison, * regarde Cody* je ne peux pas savoir...

Sébastien se sentit mal à l'aise en entendant la réponse de son ami.

Squib : Tu sais, tu devrais la rejoindre si tu en as envie.
Sébastien : Mais c'est bon, je vais rester avec toi ça ne presse pas *mentit-il*...
Squib : va-y et ne fait pas la même erreur que moi...

Sébastien ne se fit pas prier deux fois et sortit en saluant Squib de la tête et serrant la main de Cody dans les siennes et partit.
Quant à lui, Squib approcha une autre chaise de son lit et parla à voix basse dans l'oreille de Cody.

Squib : Je...je... bref, tu dois savoir que c'est très dur de parler de ce que tu vois ce que je veux dire (note perso : youla ! j'dis n'importe quoi !?), surtout si on ne sais pas si la persone en question nous entend. C'est encore plus dur si on... on l'aime sincèrement...

Il continua dans ce genre là et revint lui parler de ce qui se passait tout à l'école tout les jours suivants.

************************************

2 MOIS PLUS TARD :

Gunnerson : GARY SQUIB FURLONG ! Que faîtes vous ? C'est lamentable ! Votre jeu empire chaque jours, pire, chaque heures ! Vous êtes passé en l'espace d'un
mois et demi du meilleur joueur masculin du groupe A et de Cascadia, au plus mauvais joueur du groupe D !
Squib : Je sais...

Il regardait ses chaussures. Il avait le moral à zéro depuis bientôt 2 mois et cela affectait son jeu au tennis. Il savait qu'il était au point mort et qu'il fallait se resaisir, mais c'était trop dur. Gunnerson se radoucit et discuta calmement avec Squib.

Gunnerson : Tu sais, elle va se rétablir.
Squib : Comment pouvez-vous en être aussi sûr ? J'ai entendu les médecins parler au docteur Mayers, et ils ont dit qu'ils débrancherait l'appareil qui la maintient envie si elle ne se rétablisserait d'ici deux semaines.
Gunnerson : Crois moi, à ta place je m'éloignerais le plus possible d'elle, car j'observe beaucoup de choses dans cet école, et j'en sais assez pour savoir qu'elle va te courir après pour te botter le train ! Je l'entend même d'ici !
Squib * il souriait pour la première fois depuis de longues semaines.* : C'est vrai, je sais même qu'elle me frapera !
Gunnerson : exceptionellement, je te laisse la journée pour aller lui rendre visite, Mais demain je voudrais voir un nouveau Squib débordant de joie, marché conclu ?

Le coatch lui tendit sa main, qui fut directement rejointe par celle de Squib.

********************************

Sébastien filait le parfait amour avec Mégane.

Sébastien : J'adore l'odeur de tes cheveux, ça sent si bon...
Mégane : Et moi, j'adore quand tu me prends dans tes bras !

Ils rièrent aux éclats.

Mégane : Mais dit donc ! Tu m'avais promis de m'emmener dans le fast-food de ton père et de m'offrir pleins d'hamburger !

Sébastien parût géné.

Sébastien : Nan mais tu ne vas pas aimé, et puis...
Mégane : j'adore le bowling et ça fait longtemps que je n'en ai pas fait... s'il te plaît !!!!

Il ne pouvait refuser une telle chose devant des yeux aussi doux ! Il céda.

Sébastien : D'accord, mais à une petite condition ! Un p'tit bain de minuit demain soir, ça te tente ?
Mégane *regarde en paniquant autour d'elle* : Un bain de minuit ?

Sébastien affichait un sourire coquin et il reçu un coup de coude de la part de sa copine.

Mégane : Euh...on vera demain...
Sébastien : D'accord...

******************************

Squib arriva à l'hopital et se rendit dans la chambre de Cody et ... elle ne s'y trouva pas. Il rgardait autour de lui l'air paniqué plus que jamais.Il courut à l'accueil pour demander des renseignements.

Squib : Madame... chambre... Cody... Mayers ?
Hotesse : Mlle Mayers... ah oui ! Nous l'avons changer de chambre ce matin, elle au 5ème étage, porte 568b... et ne la fatiguer pas trop... préssé ce jeune homme...

Dès qu'il avait entendu le numéro de chambre, il avait tout de suite accouru. Il stopa net son élan quand il entendit ceci...

Homme : Tu sais, ma chérie, les médecins ont dit que tu pourras sortir de l'hopital dans 6 jours !
Jeune fille : Seulement 6 jours ? Wahou ( J'ai vu un peu trop la pub des crèpes...), je pensais qu'il me garderait plus longtemps...
Dis-moi Papa, est-ce que, j'ai eu des visiteurs ?
Homme : Bien sur que oui ! Mégane et Sébastien, Adéna, le président Bates, Gunerson, Rick aussi, et même Sunny !
Jeune fille * voix déçue* : Ah...ah bon ?
Homme *remarqua son air déçu* : Mais la personne qui bat le record de visites, c'est bien sur Squib ! Combien de fois il s'est endormit à ton chevet...

Squib frapa et entra dans la chambre.

squib : Cody ?!

Squib : Cody ?!

***************************

Mégane : Olala ! J'en ai marre de ces entrainements ! C'est insupportable !

Sébastien lui faisait des signes de tête et Mégane s'interrogeait.

Mégane : C'est quoi ces signes bizarres ? Toi aussi tu dois être trop fatiguer par l'entrainement ! Gunnerson est bien tranquille pénard pendant qu'on se tape le sale boulot...
Gunerson : C'est Coatch Gunerson, je ne suis pas tranquille pénard, puisque je vous supporte toute l'année... Et comme vous faîtes "apparemment" tout le sale boulot, je vais vous en donner moi du boulot : 50 pompes et 20 tours de pistes,
ça vous calmera je crois...

Mégane se maudissait tandis que Gunnerson partait rétablir l'ordre dans le reste de cascadia.

Mégane : T'aurais pas pu me prévenir toi !
Sébastien : Nan mais ... * elle était déjà partie* je t'ai prévenu...
Adéna : Ah, pauvre Seb, c'est dur l'amour, hein !
Sébastien : Tu l'as dit Bouffi...
Adéna : Hein ?! Quoi ?! Bouffi ? J'ai le teint bouffie ? Oh mon dieu, qu'est-ce que c'est que ce nouveau mot pour dire horreur ?! il faut que je me maquille !
Sébastien : Heuresement que ch'uis pas une fille, sinon...

********************************

Cody : Bonjour Squib !
Squib *c'est bon, elle va pas me manger*: Bonjour Cody !

Tout les deux avait l'air très géné.

Cody : Alors ça va ?
Squib : Tu me demande si ça va ? C'est plutôt à toi que je devrais posé cette question !
Cody : Va-y donc, je t'en pris !
Squib *avec son faux air d'aristocrate* : Comment va cette chère mademoiselle Mayers?
Cody : Mais très bien, très bien, enfin... pour quelqu'un qui a reçu une balle, ça va...

Squib avait l'air anéanti. Il avait presque oublié pourquoi elle était à l'hopital et n'a pu sortir un mot face à cette réponse.

Cody : Euh... Squib tu sais, ce n'est pas de ta faute.
Squib : Oh si, ça l'était et je comprenne très bien que tu veuilles me frapper, ou même ne pas m'adresser la parole.
Cody : Mais je ne t'en veux pas ! A moins que tu ai fait exprès ...
Squib : Comment veux tu que je fasse exprès alors que je t'ai... euh, je que tu es mon amie ?!

Elle afficha un sourire déçu et il le remarqua.

Squib : Euh j'ai entendu une voix d'homme tout à l'heure, je croyais que c'était ton père mais je ne le vois pas...
Cody : C'est normal je l'ai eu au téléphone tout à l'heure... et j'avais mis le haut parleur !
Squib : Je me disais bien aussi...
Cody : Et le tennis ? Le grand Gary Squib Furlong ferait-il des prouesses ?
Squib * Non, j'affiche mes faiblesses...* : Et bien, en faîtes... bah...
Adéna/Mégane/Sébastien : Coucou !!
Cody : Bonjour les amis !!

Mégane : Alors ? Comment vas-tu ?
Cody : Je vais bien, en pleine forme maintenant que vous êtes venus !

Elle affichait un sourire radieux.

Adéna : Tu nous a manquer tu sais ! On a beaucoup de petits infos croustillantes à te raconter !
Mégane : euh... je ne me sens pas très bien...

Elle coura au toilettes pour aller vomir.

Squib *hilare* : Dire que tu vas l'embrasser après ! Bonne chance mon vieux !
Adéna : Tu es vraiment méchant Squib !
Cody : Attends, primo Ad, elle à ses ****** ?
Adéna : Affirmatif !
Cody : Secondo, Meg et toi sortez ensemble ? J'étais sure que ça marcherait vous deux !
Sébastien : Ouais bah en attendant, en ce moment, elle me traite comme un chien et je ne sais pas quoi
faire !
Mégane * revient léssivée* : Attends que ça passe déjà...
Sébastien : Attendr... ?

Il voyait Cody et Adéna lui faire des signes pour lui faire comprendre de se taire et d'acquiscer.

Sébastien : Ok, j'attendrai que ça "passe"...
Squib : Il y a un truc que je ne comprends pas, comment tu as fait pour attendre aussi longtemps pour
dire à Mégane que tu l'aimait ?
Sébastien : C'est une blague ? Je pourrais en dire autant sur toi et Cody... et... euh...

Tout le monde regardait alternativement Cody et Squib, qui regardait chacun d'un côté de la pièce,
regard opposé.

Adéna *brisa la glace* : Bon, tu veux des petits potins ? voilà il y a un nouveau, c'est le fils de Bates,
Nate. Il est trop mignon, très cultivé, jouait au tennis à Brentwood, mais il a arrêté.

Squib : J'arrive, je vais... enfin bref j'arrive...
Sébastien : Attends, je te suis...

Adéna * a complètement zappé la sortie de Squib* : Mais le scoop du scoop qui est en tête des charts
ce mois-ci, c'est la performance de Squib, mais bon tu sais déjà, il a du te le dire !
Cody : Quoi ?! Il est si bon que ça au tennis, enfin je le savais déjà mais...
Adéna : Non, tu n'y est pas du tout ! * se marre* Oh non je peux pas va-y Mégane, c'est trop drôle !
Mégane : Ce n'est pas drôle du tout ! Depuis ce qui t'est arrivé, ses résultats au tennis sont en chutes
libres... Il avait le moral à zéro et il est arrivé le plus mauvais joueur du groupe... D
Cody : Du groupe quoi ?! D ? C'est une blague là ! On parle bien du même Squib là ?
Meg/Ad : Oui.
Cody : Celui qui ronfle comme il respire ?
Meg/Ad : Oui.
Cody : Celui qui dors en cours et qui ne range jamais sa chambre ?
Meg/Ad : Oui.
Mégane : Et en passant, pour essayer de lui remonter le moral, on lui a offert un carton entier de
chocolat : aucun effet, il n'a même pas voulu sentir l'odeur, rien que l'odeur !
Cody : Même du chocolat, tout ça parce-qu'il se faisait du soucis ...
Adéna : Pour toi. Si un jour un mec serais amoureux de moi comme Squib amoureux de toi, je l'épouse sur le champ !!

**************************************

Sébastien : Mais pourquoi tu ne lui dis pas ?
Squib : Si je lui dit, elle va croire que c'est parce-que je me sens coupable, tu vois ce que je veux dire ?
Sébastien : C'est complètement idiot ! Tu as peur d'être rejeté, c'est ça ? Si tu ne tentes pas
"ta chance", il sera trop tard, tu comprends ça ?

Squib reflechissait, mais il tenait beaucoup à ses convictions...

**************************************

Après la sortie de Cody de l'hopital, les tops guns reprirent une vie normale et pleine de joie et de rire,
ils vivaient heureux et sans problèmes particuliers.Nate, le fameux fils de Bates, s'avérait très different
de son père et integra très vite la bande d'amis.Ces "problèmes", appelés tout simplement la vie,
viendront dans un futur, un futur lointain, mais aussi très proche...

**************************************

Maintenant devenus seniors Mégane, Sébastien, Squib et Adéna durent redoublés d'effort pour
passer pros. Cody continuait toujours à les photographier, mais aprehendait la fin de leurs scolarité,
comme tout les tops guns et Nate, car leurs chemins devront se séparer.

Nate : Bonjour Cody ! Commet notre petite photographe préférée ?
Cody *en mentant et lassée* : Très bien, très bien...
Nate : Je vois que tu as ton album photo. Je peux ?
Cody : Euh en fait je ne veux pas vraiment... *il prit l'album* mais si tu insistes...
Nate : Voyons voir...*mit ses lunettes*, Squib tapant des balles, Squib mangeant du chocolat
en cachette, Squib tombant par terre, Squib dormant au cours de mlle Wiley, Squib dormant
dans son lit... Comment as-tu fait pour te rendre dans sa chambre à cette heure-ci de la nuit et ne
pas te faire prendre par Furlong ?!
Cody *éclata de rire et Squib detourna la tête et surveilla les deux amis* : D'abord, il entend rien,
ensuite essaye de rester la moitié de la nuit en dessous son lit, c'est l'horreur !
Nate : Ah oui ! C'est archi vrai !
Cody : Je me demande comment il fait pour vivre et rester souriant toute la journée !
Nate : Moi je sais.
Cody : Pardon ?
Nate : Bon c'est pas que je m'ennuie mais je dois aller avec mon père passer l'après-midi entre
pere et fils... Juste une chose, tu veux la réponse à tes questions ?
Cody : Quels questions ?
Nate : Comme celle-ci par exemple *montre de la tête Squib à l'entraînement*.
Cody *regarde* : ...
Nate : Va dans sa chambre et regarde en dessous de son oreiller, tu veras. Allez, a+ Cody !
Cody : Nate, qu'est-ce que je vais y trouver, attends !!!

Il partit et lui fit un signe de la main sans se retourner. Elle le lacha des yeux et son regard se
tourna vers Squib et celui l'observa. Elle détourna la tête avant qu'il ne croise son regard et partit en
direction de sa chambre pour trouver les "réponses à ses questions".

************************************

Voilà, c'est la fin !!

Gunnerson : Je vous laisse 15 minutes de pause. Les séniors, vous avez votre journée. ( Squib est redevenu le meilleur, comme par miracle ... ^^)

Tops guns : ...

Adéna : J'entends mal, vraiment très mal, ou le père Noël a pris possession de son corps ?
Mégane : J'opterais plutôt pour la possession de corps !!
Squib : Ne vous plaigner pas ! Bon, moi je vais prendre une douche, tu viens
Seb ?
Sébastien : Quoi ?! Sous la douche, t'es fou ?????!!!!!

Les filles éclatèrent de rire.

Squib : Je ne veux même pas répondre à ta question...

Voix de fille : Salut vous quatre !
Mégane : Salut... Sunny ?!
Sunny : Vous allez bien ?
Squib : Euh... ouais... mais excuse mon indiscrétion, que fait-tu ici ?
Sunny : Je suis venue attendre le coatch, il me fait faire des cours en plus. j'ai remarqué votre nette amélioration depuis quelques mois déjà et je voudrai essayer la méthode Gunnerson...
Gunnerson : Sunny, on se dépêche !

Avec le plus grand étonnement du monde de la part de Squib, Adéna, Mégane et Sébastien, Sunny acquisça sans broncher et dit discretement :

Sunny : A plus tard !

Adéna : Waow ! La maturité, ça n'a que du bon !
Squib : Je préfère personnellement quant elle nous parle gentiment, plutôt que de nous prendre pour ses esclaves...

Ils éclatèrent de rire et le silence vint dominé le groupe A.

Squib : Bon je vais prendre ma douche... (le regard de Sébastien était terrorisant...), SEUL !

Il partit en direction de sa chambre et aperçu Rick dans les couloirs près des dortoirs des garçons...

**********************************

Cody avait réussi a entrer sans problème dans la chambre de Seb et Squib et ne put s'empêcher de rire en voyant le coin rangé de Sébastien et le coin ou une tornade a dévasté l'autre partie de chambre : le coin de Squib ! Elle s'approcha de son lit et s'assit dessus, respira profondément et leva son coussin : elle découvrit ue photo a l'envers, la retourna et ...

Squib : Quel pot de colle ce Rick ! Co...co...dy ?

Elle ne repondit pas et ses yeux étaient rivés sur la photo d'elle même. Elle sentit son coeur s'allégé et sourit. Elle sentait aussi le soufle de Squib sur son crâne et savait ce qu'elle avait trouvée.

Squib : Euh... je... tu...

Cody se retourna et l'embrassa et tout les deux savaient que c'était le début de leur histoire d'amour, certes passionée et ils le savaient, mais difficile, ce qu'ils ne savaient pas encore...

FIN


Il existe la suite de cette fic appelé : Retrouvaille : comme au bon vieux temps ( enfin presque... ). Si cette fic vous a plu, je vous la posterais si vous le souhaitez.

++

C'était trop bien! J'ai vraiment beaucoup aimée!!! Alors, oui poste nous la suite!

j'adore ta fic, j'ai tout lu d'un coup, j'aime vraiment beaucoup
et je veux bien la suite

je veut la suiteuuhhh!! mdr c'est super bien j'adOre ! BizOu et bOnne chance pour la suite ! en tout cas moi je la lirais !! :p