Vos passages favoris des bouquins de Stephenie Meyer

Et voila une nouvelle fan est née!! lol!! Sans rire j'ai ADORE ce 1er tome et j'ai mes passages favoris, je trouvais l'idée sympa de vous les faire partager.

Je vous propose donc d'inscrire dans ce post vos passages favoris des quatres bouquins de madame Meyer, en nottant le titre du livre, la/les pages et le passage en lui-meme.

Avis a ceux qui n'ont pas lu les quatres livres... euh ba ya peut etre des spoilers ( si les passages font mention d'un effet important du livre on pourrait meme mettre le texte en mode spoiler )

Bon je commence ( j'ai lu que le 1er mais les spoilers ne me dérangent pas du tout, au contraire meme je connais quasiment deja toute l'histoire!! )

Donc TOME 1: Fascination

pages 304 et 305à 307

Tu es blanche comme un linge... Pire, même. Comme moi!
- J'aurai du fermer les yeux
- Rapelle t''en, la prochaine fois.
- Pardon?
Il s'esclaffa, ravi.
- Frimeur, ronchonnai-je.
(...)
- En chemin, je réfléchissais...
- A la meilleure façon d'éviter les arbres, j'espère.
- Petite sotte. Courir est une deuxième nature chez moi. Je n'ai pas besoin d'y penser.
- Frimeur, répétai-je.
(...)
Ce à quoi ni lui ni moi n'étions prets, ce fut ma réaction.
Mon sang bouillonna sous ma peau, incendia ma bouche. Mon souffle devient heurté et erratique. Mes doigts agrippèrent ses cheveux, collant sa tete contre la mienne. Mes lèvres s'ouvrirent, et j'inhalai à fond son odeur capiteuse. Aussitot, il se pétrifia. Ses mains, douces mais fermes, me repoussèrent. Rouvrant les yeux, je vis qu'il était sur ses gardes.
- Houps!
- Comme tu dis.
(...)
b] J'attrapai sa paume glacée - cette aide était la bienvenue, car je titubais, n'ayant toujours pas retrouvé mon équilibre.[/b]
-C'est encore la course ou dois-je le mettre sur le compte de mon habileté à embrasser?
(...)
- Un peu des deux, j'imagine.- Mieux vaut que je prenne le volant, alors.
(...)
Le contournant, je me dirigeai vers la portière conducteur. Il m'aurait peut-etre laissée passer si je n'avais pas vaguement titubé. Quoique... rien n'est moins sur. Son vras s'enroula atour de ma taille, m'emprisonnant fermement.
- Bella, j'ai dépensé beaucoup d'energie pour te garder en vie aujourdhui. Je n'ai pas l'intention de te laisser conduire alors que tu n'arrives meme pas à marcher droit. Et puis, tu t'es vue quand t'a bu? cita-t-il en ricanant.
Un arome insupportablement alléchant émanait de son torse.
- Bu, moi? protestai-je.
- Ma seule présence t'intoxique, persifla-t-il.
- Voila un argument que je ne peux guère réfuter, soupirai-je
Je n'avais pas le choix. J'étais incapable de lui refuser quoi que ce soit. Je brandis les clés, sa main blanche s'en empara à la vitesse de l'éclair, sans bruit.
- Vas-y doucement, l'averti-je, ma voiture est une dame du troisième age.
- Tres juste.
- Et toi, lançai-je, agacée, tu n'es pas affecté par ma présence?
Une fois encore, ses traits si mobiles se transformèrent, et une douceur chaleureuse envahit son visage. D'abord, il ne répondit pas. Il se contenta de se pencher vers moi et de promener ses lèvres le long de ma machoire, de mon oreille à mon menton, à plusieurs reprises. Je tresaillis.
- Quand bien meme se serait le cas, murmura-t-il enfin, il n'en reste pas moins que j'ai de meilleurs réflexes.

pages 316/317

- Tu m'as espionnée?
(...)
- A quoi occuper mes nuits sinon?
(...)
-Je te rends visite presque toutes les nuits.
- Pourquoi? m'exclamai-je en virevoltant sur place.
- Tu es très interessante quand tu dors. Tu parles.
- Nom d'un chien
(...)
- Quoi d'autre? insistai-je
- Tu as prononcé mon prénom, admit-il, conscient de la réponse que je guettais.
- Beaucoup? soupirai-je, vaincue
- C'est combien pour toi, beaucoup?
- Oh, non!
Je baissai la tete. D'un geste naturel, il m'attira rendrement contre lui.
- Ne sois pas genée, me souffla-t-il à l'oreille. Si je savais rever, je ne reverais que de toi. Et je n'en aurais pas honte.

page 337

- Enfin-là, murmura-t-il en m'enlaçant.
Il me berça un moment en silence, puis je m'aperçus qu'il s'était changé et que ses cheveux étaient lissés.
- Tu as osé me quitter? l'accusai-je en effleurant le col de sa chemise propre.
(...)
- Tu étais profondement endorme. Je n'ai rien loupé. Tu avait deja parlé, ajouta-t-il avec malice.
- Qu'ai-je dit? grognai-je.
- Que tu m'aimais.
Ses yeux dorés étaient tres doux.
- Ce n'est pas un scoop.
- C'était plaisant à entendre quand meme.
J'enfoui mon visage dans son épaule.- Je t'aime, chuchotai-je
- Tu es ma vie, désormais, répondit-il tout simplement

pages 342/343

- Ca y est, criai-je en dégringolant les marches, je suis à peu près décente.
(...)
- Encore une fois, tu as tout faux, murmura-t-il à mon oreille. Tu es scandaleusement indécente. Aucune femme ne devrait avoir le droit d'etre aussi tentante, c'est injuste.
- Comme ça, tentante? Je peux me changer...
- Tu es absurde, soupira-t-il en secourant la tete.
Il appuya délicatement ses lèvres galcées contre mon front, et la pièce se mit à tourner. L'arome de son haleine me privait de tout mes moyens.
- Est-il vraiment necessaire que je t'explique pourquoi tu me tentes?
(...) Ses doigts caressaient mon dos, sa respiration était plus hacée. Lentement, sa bouche entrouverte effleura la mienne pour la deuxiéme fois en deux jours.
Alors, je m'écroulai.
- Bella? s'écria-t-il, quiet, en me rattrapant.
- Tu ... m'as...fait...tomber...dans les pommes.- Mais comment fau-til que je me comporte? s'exaspéra-t-il
(...)
- Tu ne vas pas etre malade, hein?
- Non. Ce n'est pas comme l'autre fois. Je crois juste que j'ai oublié de respirer.
(...)
- J'ai un faible pour la manière dont la couleur de ce chemisier s'accorde à ta peau, l'ança-t-il de façon inattendue

pages 384 à 386

- Oh, oh, rigola-t-il, j'ai l'impression que je vais devoir falsifier ta mémoire
(...)
- Comment ça, falsifier ma mémoire? m'inquiétai-je
- Quelque chose comme ça.
Il me vrillait de son regard, mais ses iris recelaient une étincelle d'humour. Plaçant ses mains sur la carroserie, de chaque coté de ma tete, il se pencha, m'obligeant à reculer. Il s'approcha jusqu'à ce que son visage se retrouve a quelques centimetres à peine du mien. J'étais coincée.
- Et maintenant, chuchota-t-il (et son haleine suffit à me faire perdre l'esprit), explique-moi de quoi tu as peur exactement.
- Euh...eh bien...balbutiai-je, d'entrer en collision avec une branche et de mourir. De vomir partout.
Il réprima un sourire, se pencha encore, et ses lèvres froides effleurèrent le creux de ma gorge.
- Toujours anxieuse? murmura-t-il.
- Oui.
Son nez glissa sur ma machoire, s'arretant juste au-dessus de ma bouche. Son souffle frais chatouillait ma peau.
- Et maintenant?
- Les arbres, le mal des transports, haletai-je
Il leba la tete et embrassa mes paupières
- Bella, tu ne penses tout de meme pas que je heurterais un tronc, non?
- Pas toi, moi.
Ma voix flanchait. Il flaira la victoire toute proche. Ses baisiers déscendirent lentement le long de ma joue avant de se poser à la commisures de mes lèvres.
- Crois-tu que je laisserais un arbre t'attaquer?
- Non, soufflai-je
J'étais sure d'avoir d'autres arguments à lui opposer mais, bizarrement, je ne les trouvai pas.
- Tu n'as donc aucune raison d'avoir peur, conclut-il
- Aucune, soupirai-je, vaincue.
Alors, il prit mon visage entre ses mains, presque brutalement, et me donna un long et vrai baiser.
Mon comportement fut inexcusable. J'étais pourtant prévenue. Hélas, je fus incapable de ne pas réagir exactement comme la première fois.
(...)
- Nom d'un chien, bella. s'écria-t-il. Tu as juré ma mort ou quoi?
Je m'accroupis, mains autour de mes genoux, pour calmer mes tremblements.
- Tu es indestructible, marmonnai-he en essayant de reprendre ma respiration.
- Ca, c'était avant que je rencontre. Allez, filons avant que je m'autorise un geste vraiment stupide, gronda-t-il.
(...)
Je ne fus pas certaine que nous nous étions arretés avant qu'il ne caresse mes cheveux- C'est fini, Bella

page 490

Calme-toi,ajouta-t-il en me caressant la joue, tu n'a plus qu'à guérir, maintenant.
Mon corps endolori et les calmants ne me plongeaient pas dans une hébétude suffisante pour que je ne réagisse pas à son contact. Le moniteur se mit à biper de manière erratique - Edward n'était plus le seul à pouvoir entendre que mon coeur se tenait mal.
- Voila qui est sacrément embarrassant, bougonnai-je.
Il rigola, et ses yeux s'allumèrent d'une lueur spéculative.
Hum, je me demande...
- Il se pencha lentement, et la machine s'emballa avant meme que ses lèvres ne touchent les miennes. Quand elles le firent, légères comme un papillon, les bips s'arretèrent. Il recula brusquement, anxieux, puis sembla soulagé lorsque l'appareil recommença à mesurer les battements de mon pouls.
- Je vais devoir me montrer encore plus prudent que d'habitude, sourcilla-t-il.
- Hé! Je n'ai pas fini de t'embrasser. Je crois que je vais avoir un malaise.
Hilare, il déposa un nouveau baisier sur ma bouche - le moniteur perdit toute mesure.

J'ai encore deux trois passages que j'adore mais je les laissent pour la suite!!!

Il faut féliciter le traducteur! C'est à lui que plus de 50% du mérite revient. Bravo Luc, comme quoi, pour exprimer de façon belle, les sentiments humains, les hommes sont les meilleurs. Sur ce je pars retrouver Morphée

Tu as Citer Tout mes moments préférés de Fascination

Pour ma Part Mon préré avec Fascination C'est new Moon ( Tentation ) & il y a un moment que J'adore C'est vers la fin du livre :


Je préfère Mettre en Spoiler pour ceux qui ne l'on pas lu , on sait jamais

Spoiler:

il a aussi plusieurs passage que j'adore dans Hésitation , en particulier celui de la tente & Tellement d'autre mais honetement j'ai la flemme de les Marquer Maintenant. x) .



Sinon pour fascination il y à :

Spoiler:

& puis les autres PTC les a citer

J'en rajoute deux trois de fascination ( j'attends tentation depuis 2 jours et je l'ai toujours passsssssss )

L'odeur de son haleine était reposante, et j'eus l'impression de respirer plus librement.
- Ca vas mieux?
- Oui
Secourant la tete, il marmonna des paroles inintelligibles, meme si je crus saisir les mots "trop émotive"
------------------------------------
- On dirait le décor d'un film d'horreur, me moquai-je
- Mais c'est que nous avons notre lot de vampires, murmura-t-il, complice
-------------------------------------
- Il a dit que tu étais jolie, finit-il par lacher en sourcillant. C'est presque insultant. Tu es beaucoup plus que ça.
- Tu es de parti pris, m'esclaffai-je.
-------------------------------------
(...) que tu allais finalement procéder à ma transformation.
(...)
- Tu as cru que je porterai une cravate noire pour l'occasion? se moqua-t-il.
-------------------------------------
(...) Ils t'on fait des transfusions.Ca ne m'a guère plu. Pendant un moment, tu as senti bizarre.
- Ca a du etre un changement agréable pour toi.
- Non, j'aime ton odeur.
--------------------------------------
- Elle a peur des piqures, marmonna-t-il en secouant la tete. Un vampire sadique pret à la torturer à mort ne lui pose aucun probléme, elle se jette meme dans ses bras! Une simple perfusion en revanche...

Tu me donnes envie de le relire direct en une nuit, cette nuit, même! Douce torture

jadore leur humour a tout les deux, ils se lançent des ptites piques c'est trop mignons! Personne ne veut donner ses citations favorites des autres livres? Je suis en manqueeeeeeeeee!! Bast tu te lance?

J'ai la flemme de tout recopier, c'est long et puis ça fait longtemps que je les ai lu en fait, (sauf le dernier bien sûr!)

copie-moi du dernier ( ou textote moi!! lol! et viens sur msn! )

Il est trop tard, là je devrais déjà dormir depuis 30min. Bon j'en peut-être mettrais la prochaine fois.

Jen ai retrouver Quelque Unes Des Autres bouquins , vu que j'ai relue Révélation hier soir x) .


Mais je Commence Encore par New Moon

Spoiler:

Gros happy end, ce livre, est celui que j'aime le moins!

Je le commence a peine est j'ai deja noté quelques phrases tres sympa, mais sans Edward et ses phrases sarcastiques vas yen avoir nettement moins!

C'est un grand comique, je l'avoue!

Très bons passages que vous avez choisi mesdames! Pour Fascination, j'en rajouterais quelques uns que jaime particulierement!

- Non. Rien ne correspond. La plupart de ce que j’ai trouvé était stupide. Et après…
- Quoi ?
- J’ai décidé que ca n’avait pas d’importance ?
- Pardon?
Son incrédulité me fit lever la tête. J’étais parvenue à briser son flegme soigneusement étudié. Il avait l’air un peu furieux aussi, comme je l’avais craint.
- Non, murmurai-je. Ce que tu es n’a pas d’importance.
- Que je sois un monstre inhumai te serait égal ?
Sa voix avait pris des accents moqueurs et cruels.
- Oui.


- Tu crois sérieusement être plus attachée à moi que moi à toi ? murmura-t-il en se rapprochant encore de moi, l’or sombre de ses pupilles me transperçant le cœur. […]
- Oui, je suis plus attirée par toi que tu ne l’es par moi. […]
- Tu as tort, finit-il par dire doucement.


Sur ce, il reprit mon visage entre ses mains en coupe. J’arrêtai de respirer. Il hésita – pas d’une façon normale, pas d’une façon humaine, pas comme un homme pourrait tergiverser avant d’embrasser une femme, afin de jauger sa réaction, de voir comment elle va le prendre. Ou pour prolonger l’instant, ce moment parfait d’anticipation, parfois meilleur que le baiser lui-même. Edward, lui, hésita pour se tester, pour vérifier que c’était sans danger, qu’il contrôlait sa soif. Puis ses lèvres de marbre froid se posèrent tout doucement sur les miennes.

- Tu t’angoisses non parce que tu vas mettre les pieds dans un nid de vampires, mais parce que t’as peur que ces vampires te rejettent, c’est ca ?
- Exactement, ripostai-je en cachant ma surprise de l’avoir entendu utiliser le mot avec tant de facilité.
- Tu es incroyable, conclut-il en secouant le menton.

- Edward est resté seul pendant presque un siècle. Maintenant, il t’a. Tu n’es pas consciente des changements que tu as provoqués en lui, nous si. Penses-tu que l’un de nous tiendrait à croiser ses yeux pendant les cent prochaines années s’il devait te perdre ?

J'avais la flemme d'aller chercher dans le bouquin, donc j'ai repris ceux que j'avais posté dans un article sur Fascination, il y a quelques mois deja! Néanmoins, je rajouterais de mémoire ces deux là:

"J'ai décidé, puisque je suis voué aux Enfers, de me damner avec application!" (Edward)

- Edward?
- Oui?
- Je parie sur Alice!

Je recopie celles que j'avais mis sur mon blog. J'en ai lu tellement ici j'espere que je ne remets pas celles déja notées

"-Quel âge as tu ?
La réponse fusa
-Dix-sept ans
-Et...Depuis combien de temps ?
-Un bon moment, admit-il amusé."

"Il eut un sourire froid
-Il n'y a que toi pour t'attirer des problèmes dans une aussi petite ville. Tu aurais ruiné leurs statistiques pour dix ans tu sais.
Cette fois il éclata d'un rire franc, et ses iris s'allumèrent.
De nouveau je m'étais inclinée vers lui. Il sembla hésiter, déchiré par une sorte de dilemme intérieur. Ses yeux fixèrent les miens, et j'imagine que ce fut à cet instant qu'il envisagea vraiment l'éventualité de me dire la vérité.
-Tu peux avoir confiance en moi murmurais-je"

"Je détournai le regard pour m'attarder sur le splendide piano de concert. J'avais eu enfant le rêve d'acheter un de ces instruments (...) Il m'entraîna avec lui, allant jusqu'à m'inviter à m'asseoir sur le tabouret à son côté(...) Puis ses doigts virevoltèrent sur l'ivoire, et un morceau envahit la pièce, si complexe et foisonnant qu'on avait du mal à croire que deux mains seulement jouaient. Sans s'arrêter ni donner l'impression d'un quelquonque effort Edward me lança un clin d'oeil.

-Tu aimes ?
-C'est toi qui l'a écrit ? M'exclamai-je interdite.
Fermant les yeux, je secouai la tête
-Qu'y a til ?
-A côté de toi j'ai limpression d'être totalement insignifiante.

La musique ralentit et se transforma en mélodie plus douce. A ma grande surprise, je reconnus derrière la profusion de notes, le thème de la berceuse qu'il m'avait chanté.
-C'est toi qui m'a inspiré celui-ci, chuchota-t'il.
La composition devint infiniment tendre."

"Il n'y a que toi pour t'attirer des problèmes dans une aussi petite ville. Tu aurais ruiné leurs statistiques pour dix ans tu sais." exellente celle-ci je l'avais bien aimée!

Je trouve que le livre avant d'être marrant, est beau, je n'ai retenu aucune des "blagues" d'Edward, mais je connais encore pas mal des belles phrases de ce dernier, c'est un poète avant d'être un comique.

B.B.B. a écrit:

C'est un poète avant d'être un comique.

Une espece en voir de disparition! Mais je suis d'accord! Edward, c'est le poete. Emmett le comique et Jasper, ben le costaud! Quand à Carlisle, je dirais l'intello!

mes passages favoris du 2éme tome:

J'apperçus Edward (...) hommage marmoréen rendu à quleque dieu paien de la beauté, désormais oublié.

Combien de terminales as-tu effectuées, toi?
Ce n'est pas pareil.

Crois-tu que j'arriverai un jour à me maitriser? demandai-je à voix haute, plus pour moi que pour lui, d'ailleurs.Que mon pouls cessera de s'emballer chaque fois que tu me touches?
J'espere bien que non, plastronna-t-il.

(...) mais je savais que cela m'aiderait en rien dans ma stratégie anti-vomitive.

Plutot mourrir! Toi seul comptes.
Inutile d'etre aussi theatrale
Inutile d'etre aussi bete

Qu'est-ce qui t'attire le plus, mon sang ou mon corps? Le défiai-je.
C'est du pareil au meme, répondit-il en souriant malgré lui.

Le plancher lisse entra en contact avec mes genoux, puis mes paumes, ma joue enfin. J'en appelai à la délivrance de l'inconscience. Malheureusement, je ne m'évanouis pas. Les vagues de souffrance qui, jusqu'à alors, s'étaient contentées de m'effleurer se soulevèrent en rugissant avant de s'abattre sur moi et de m'engloutir. Je sombrai.

Elle avait sacrifié sa longue crinière blonde (...) J'aurais aimé savoir ce qu'elle cachait. Du chewing-gum s'atait-il collé dans ses cheveux? Les avait-elle vendus? Les gens avec lesquels elle se montrait d'ordinaire si garce l'avaient-ils coincée derrière le gymnase pour la scalper?

On verra peut etre le supernounours, plaisanta Jacob (...)
Dans ce cas, tu ferais sans doute bien de prendre un pot de miel, se moqua t-il. Au cas ou.

J'étais pareille à une lune perdue - ma planète avait été détruite par le scénario d'un quelconque film catastrophe - qui continuait néanmoins à tourner en un tout petit orbite autour du vide créé par le cataclysme en ignorant les lois de la gravité.

(...) ce visage n'était pas celui pour lequel je me serais damnée (...)

N'étais-tu pas le chaton favori de l'un des leurs?

Il avait juste creusé son propre trou, si bien que, maintenant, j'étais perforée comme un gruyère.

Il (Jacob!) dormait profondement, un mince filet de bave dégoulinant de sa bouche entrouverte.

Pas question que je sois présent quand elle dégobillera.
(...)
Ne vomis pas, d'accord? Marmona mon chauffeur sitot la porte fermée. Je nai que 10 dollars (...)

(...) qui aurait d'ailleurs souhaiter visionner la rediffusion de ma pauvre existence?

(...) A propos, aurais-tu l'amabilité de m'expliquer pourquoi tu es encore vivante?

Mon prince ne réapparaitrait pas pour m'embrasser et me sortir de mon sommeil enchanté. Je n'étais d'ailleurs pas une princesse. Que disait le protocole des contes de fées à propos des autres baisers? De ceux qui, ordinaires, ne brisaient pas les envoutements?

Elle est en train de craquet, tu devrais peut-etre la gifler, suggera Alice.

Spoiler:

J'étais de nouveau branchée en mode conte de fée

Carrant les épaules, j'avançai vers mon triste sort, solidement soutenue par mon destin.

La suire de mes passages favoris, tome 3: hésitation ( y'en a un bon paquet! )

apparut alors mon miracle personnel

Je fut prise d'un léger vertige, peut-etre parce que j'avais oublié de respirer. Une fois de plus.

Je suis pressée, murmurai-je. Moi aussi, j'ai envie d'etre un monstre.

-Alors, je te souhaite d'avoir plus de jugeote qu'eux et de ne pas commettre l'erreur de t'amourager d'un etre funeste.
-Il est un peu tard pour t'inquieter de celui dont je tomberai amoureuse. Du reste, je crois m'etre plutot bien débrouillée.
-J'en suis ravi.

Si l'on pouvait embouteiller ta malchance, on obtiendrait une arme de destruction massive de tout premier ordre.

En parlant de l'auto-radio de Bella:
- Je n'arrivais pas à l'extraire du tableau de bord.
- Alors tu t'es sentie obligée de le torturer?
- Je ne suis pas douée avec les outils, tu le saos. C'était involontaire.
- C'est un meutre, oui! assena-t-il en secouant le menton, l'air faussement tragique.

Ce n'est pas comme si j'allais à Las Vegas pour assister à un spectacle cochon.

Une partie d'échecs entre Edward et Alice était l'un des spectacles les plus droles auxquels il m'eut été donné d'assister. Presqye immobiles, ils ne quittaient pas le plateau des yeux. Alice voyait à l'avance les mouvements qu'envisageait Edward, lui, lisait les siens dans ses pensées. L'essentiel de la partie se jouait mentalement. Ils n'avaient déplacé que deux pions avant qu'Alice ne renverse son roi en signe de reddition. Le tout n'avait duré que trois minutes.

Ferme ta fenetre si tu ne veux pas de moi cette nuit, chuchota-t-il juste avant que je ne claque la portière. Je comprendrai.
(...)
Je montai dans ma chambre, fonçai droit sur la vitre que je fermai si brutalement que l'encadrement métalique trembla. Je restai plantée devant pendant de longues minutes puis, en soupirant, je la rouvris.

Les doigts glacés d'Edward carressèrent ma joue, me ramenant à l'instant présent. Il se pencha, embrassa mon front.
- Nous sommes arrivés, Bella au Bois Dormant. Debout!

Il était hors de question de t'y envoyer seule. Avec la chance qui te caractérise, meme la boite noire n'aurait pas survécu.
raison du crash?
Les pilores sont tombés dans un coma ethylique.

Emmet m'avait dit:
- Je suis uper content qu'Edward ne t'ai pas tuée. Avec toi, on se marre drolement plus.

Je reviens vite, je n'aurai pas le temps de te manquer. Veillz sur mon coeur, je l'ai confié à tes soins.

- Pour commencer, je crois qu'il faut chercher l'ame soeur parmi sa propre espece.
- Flute alors! Me voila condamnée à Mike Newton pour le restant de mon existence!

- Alors, je serai la seule à décrépir? Parce que moi, je prends un fichue ride tout les jours! Nom d'un chien! Q'est ce que c'est que ce monde injuste?
- Calme-toi, Bella.
- Et toi, ferme-la! Compris? Boucle-la! C'est dégoutant!
Sérieux, tu viens vraiment de taper du pied par terre? s'esclaffa-t-il. Je croyais que les filles ne faisaient ça qu'à la télé!

J'opte pour la neutralité. Je suis la Suisse, dans ce conflit (...)
Vampires, loups-garous, aucune importance. Et si Angela se transforme en sorcière, je continuerai à la fréquenter.

C'est un enlèvement ou je ne m'y connais pas, rétorquai-je, amère
Exact! s'esclaffa-t-elle. Tu es ma prisonnière jusqu'à samedi.
(...)
Désolée, poursuivit-elle sur un ton qui laissait entendre le contraire. Il m'a soudoyée.
Combien t'a-t-il payée?
La Porsche! s'esclama-t-elle joyeusement.
(...)
Il t'a offert cet angin uniquement pour me retenir en otage deux jours?
Elle m'adressa une grimace, et l'horrible vérité s'imposa à moi.
- Cest pour chaque fois qu'il s'absentera? hurlai-je, effarée
Elle acquiesça.
(...)
- Tu ne trouves pas qu'il exagère? repris-je. Qu'il se montre un tantinet psychotique?
(...)
Quelle sotte en effet! rétorquai-je, acide. Une soirée en compagnie de vampires constitue le summum de la prudence.
(...)
Figure-toi qu'on ma torturée. Alice m'a verni les ongles de doigts de pied.

-Tu as des ennuis, mon pote, articulai-je lentement en insitant sur chaque syllabe. De gros ennuis. Les grizzlis enragés te paraitront adorables quand tu verras ce qui t'attend à ton retour.
(...)
J'étais censée etre en colère contre lui, cela m'était égal. J'étais censée en vouloir à la terre entière, je m'en fichais.
- J'étais pret à subir un courroux plus fort que la rage des grizzlis, et à quoi ai-je droit? Je devrais te facher plus souvent.
- Donne-moi une minute pour démrarrer, plaisantai-je en l'embrassant derechef
- Prends tout ton temps.
Ses doigts fourragèrent dans mes cheveux, mon souffle devint plus heurté.
- Demain matin, alors.
- Comme tu voudras.

- Je ne voudrais pas déclencher ton ire prématurément, mais voudrais-tu m'expliquer en quoi ce lit te déplait?
(...)
- Alors, ce lit? insista-t-il. Moi je le trouve bien.
- Il était inutile, haletai-je
(...)
- Voila qui est sujet à débat, objecta-t-il. Nos galipettes seraient difficiles à exécuter sur un canapé.
Glacée comme la neige, sa langue lécha le contour de mes lèvres. J'avais le vertige à force d'avoir le souffle court.
- As-tu changé d'avis? demandai-je, hors d'haleine.
(...)
- Ne sois pas sotte, Bella, me morigéna-t-il. J'essayais seulement d'illustrer les avantages d'une couche que tu n'a pas l'air d'apprécier. Ne t'emballe pas.
- Trop tard! Et ce lit me plait.
(...)

- Remarque, certains enlèvement ont leurs avantages. Je suis d'accord pour etre ta prisonnière. Quand tu voudras.
- Hum... méfie-toi que je ne te prenne au mot.

- Pourquoi dois-je donc toujours etre le plus responsable de nous deux? se plaignit-il.
Je souris
- Tu n'es pas obligé. Laisse-moi etre responsable pendant quelques minutes...quelques heures.
- Bonne nuit, Bella

La splendeur du Taj Mahal sans le fric que ça couterait d'y aller.
Au petit Taj Mahal de l'Etat de Washington, alors! lançai-je en levant mon soda.

- Tu ne sera jamais seule, me rassura Edward. Il y aura toujours l'un de nous. Emmett, Alice, Jasper...
- Ridicule! Ils vont tellement se barber qu'ils seront obligés de me tuer pour ne pas périr d'ennui.
- Tres drole!

Est-ce qu'il te paye pour ce boulot de relations publiques ou es-tu bénévole?

- Eh bien...est-ce que... tu l'embrasses?
- Oui, admis-je en rigolant.
- Beurk!
- Chacun son truc.
- Ses crocs ne t'inquiétent pas?
- Boucle-la, Jake! m'énervai-je en lui donnant une tape sur le bras. Tu sais très bien qu'il n'en a pas.
- Mouais...

-Salut vampirette! m'avait bruyamment saluée Embry

- Je n'en reviens pas, marmonna Edward. Comment un etre aussi chétif peut-il etre aussi agaçant?
- Le talent, mon cher, le talent! s'esclaffa sa soeur

- J'ai entendu tes réticences, mais si tu tiens à ce que je me charge en personne de ta transformation...
- tra-la-la-la! fredonnai-je

- Salut, Edward! nous lança-t-il. On sèche les cours, Bella?
- Moi aussi, lui signala son frère.
- Certes, mais elle, c'est son premier bac, s'esclaffa le géant.

Jasper débarque, couvert de cicatrices et trainant derrière lui ce petit lutin qui nous salue par notre prénom et demande dans quelle chambre elle peut s'installer.
Alice et Jasper s'esclaffèrent

J'ai hate de voir ce qu'Edward t'infligera. J'espere bien qu'il te tordra le cou, espece de sale clébard cinglé et répugnant!
(...)
Tu ma rendu mon baiser
Des clous! J'essayais juste de te repousser, espèce de crétin!
Il partit d'un long éclat de rire.
Qu'est ce que tu es teigneuse! Un peu trop sur la défensive meme.
(...)
La prochaine fois que tu me frappes, sers-toi d'une batte de base-ball ou d'une clé à molette
J'y compte bien
(...)
-Montre-moi ça, murmura-t-il.
Il m'examina avec soin et douceur. Ses doigts étaient presque aussi froids que les glaçons, ce qui était agréable.
- J'ai bien l'impression que c'est cassé, en effet. Je suis fier de toi. Tu n'as pas du ménager ta force.
- J'y suis allée de bon coeur, admis-je. Ca n'a pas suffi, apparemment.
Il embrassa doucement ma paume.
(...)
- Papa? Tu n'aurais pas une batte de base-ball dans ta chambre, par hasard? J'en ai besoin. Rien qu'un instant.

Si tu me la ramènes une nouvelle fois abimée, et je me fiche d'en connaitre la raison, qu'elle ait trébuché ou qu'un météore lui soir tombé sur le crane, bref, si elle ne revient pas en parfait état, tu te retrouveras à courir sur trois pattes. Pigés, espèce de sale cabot?

- Tu t'es encore cassé la figure, Bella? rigola-t-il.
- Non, rétorquai-je, mauvaise. J'ai filé un coup de poig dans la tronche d'un loup-garou.
Il partit d'un éclat de rire homérique.
- Jasper va gagner votre pari, commenta calmement Rosalie.
- Quel pari? demandai-je en m'arretant net
- Quel pari? insistai-je
- Merci Rosalie! soupira Edward en m'entrainant à l'intérieur de la maison
- Edward...
- Des bétises. Emmett et Jasper sont joueurs.
- Si tu ne me dis pas de quoi il s'agit, je retourne questionner Emmett
-Ils ont parié sur le nombre de fois ou... tu flancherais, la premire année, avoua-t-il à regret.
- Oh! Sur le nombre de personnes que je risque de tuer?
- Oui. Rosalie estime que ton tempérament joue en faveur de Jasper.
- Et il a parié gros

Charlie avait boudé en apprenant, la semaine précdédente, que j'avais l'intention de me faire accompagner au tralala par Edward.

Soudain, tout le monde se mit à brailler en lançant son chapeau en l'air. Je retirai le mien trop tard, me contentai de le laisser tomber par terre.

- Vous vous etes encore disputés?
- Du tout. Et occupe-toi de tes oignons.
- Tu es mes oignons.

- Je t'ai eu! s'exclama-t-elle avant d'embrasser sa gorge.
- Tu n'es qu'un horrible petit monstre, répliqua-t-il amusé.

Evidemment, petite sotte trop sensible!
Faut-il que je lance une pétition pour que tu me croies?

- Voudrais-tu s'il te plait cesser de te déshabiller, Bella? chuchota sa voix de velours.
- Tu préfères t'en charger?
- Pas ce soir, répondit-il, tout sa maitrise retrouvée
- Edward,ne...

- Je n'avais aucun droit de te vouloir, pourtant je t'ai prise. Et maintenant, regarde ce que tu es devenue! Tu essayes de séduire un vampire.

- Donc, tu ne dormiras pas avec moi avant que nous ne soyons mariés?
- Techniquement, je ne dormira jamais avec toi
- Très amusant, Edward!

Nous irons à Las Vegas, en vieux jeans, dans une chapelle accessible en voiture. Meme pas la peine d'en descendre!

Un aller-retour à Las Vegas ne représentait rien. J'irais dans une toilette encore plus appropriée qu'un jean usé -un vieux survetement.

Je contemplai ses yeux, tachant d'indentifier ce qui couvait sous la surface. Il croisa mon regarde, et toute son indifférence affectée s'évapora d'un coup. Il rayinnait de joie, victorieux, si beau que j'en eus le souffle coupé. Il m'embrassa avec fougue, et quand il se sépara de moi, il était aussi jors d'haleine que moi.

- Combien tu m'aimes, Bella?
- Pardon?
Elle tourna vers moi son regard de martyre, sourcils noirs froncés, lèvres tremblantes, arborant une expression à fendre le coeur le plus dur.
- Je t'en prie, Bella. Je t'en conjure! S'il te plait...Laisse-moi organiser ton mariage.
- Alice, non! gémis-je en me levant de ma voiture. Epargne-moi ça!
- Si tu m'aimes pour de bon...
- Tu es immonde! Edward a deja utilisé le chantage affectif, au passage.
(...)
- Je t'en conjure! Sois gentille! Sois gentille! Sois gentille!
Elle s'était mise à sautiller sur place en scandant sa litanie
- Je ne te pardonnerai jamais, Alice, jamais.
- Hourra! brailla-t-elle en tapant dans ses mains.
- Je n'ai pas dit oui!
- Ca ne saurait tarder.
(...)
- Las Vegas, chuchota-t-il à mon oreille.
- Cours toujours! pépia sa soeur. Bella ne me fera jamais ça. Et toi, mon cher, sache qu'il t'arrive d'etre extremement décevant, en tant que frère.
(...)
Un jour, tu me remercieras. Bon, d'accord, peut-etre pas avant cinquante ans, mais tu verras.

Emmett n'aura qu'à décrocher l'autorisation d'officier sur internet

- Alors, Bella, quoi de neuf?
- Que du vieux, mon pote, que du vieux.

Va cherche un radiateur, je ne sais pas, moi!
Vas chercher un chauffage d'appoint. Je ne suis pas un saint-bernard!
Tu as mentionné un radiateur, je suis là

Tu aura chaud dans une minute. Bien sur, ça irait plus vite si tu te déshabillais
Edward grogna aussitot
- C'est juste une constatation, se défendit Jacob. Une technique de survie basique

Tu devrais essayer d'embrasser quelqu'un d'autre, juste pour comparer. Je n'ai rien contre le fait de servir de rat de laboratoire

-T'es lèvres sont encore bleues. Tu veux que je les réchauffe aussi? Tu n'as qua demander.
Edward poussa un gros soupir

- Tu n'as pas froid?
Ton radiateur est hors d'usage

Alors, je sentis mon coeur se fissurer en deux parts inégales, la plus petite s'arrachant à l'autre en provoquant une douleur atroce.
Mes larmes roulèrent sur son torse, là ou il ne pouvait les voir.

Jasper se frottait le bras gauche.
Il à été mordu?
Il voulait etre partout à la fois pour épargner du travail à Alice. Qui se débrouille tres bien toute seule.
- Espèce d'idiot trop protecteur, marmonna l'intéressée

Le docteur Croc ne sait pas trop quelle dose d'antalgiques me sont nécessaires.

Il est comme une drogue, pour toi, reprit Jacob, sans critique cependant. Je vois à présent que tu es incapable de vivre sans lui. Il est trop tard. N'empeche, j'aurais été plus sain pour toi. Je n'aurais pas été une drogue, mais ton air, ton soleil.

Elle recula et sautilla, emballée par un regain d'enthousiasme.
- Vas jouer avec Edward, m'ordonna-t'elle. J'ai des tonnes de trucs à faire.