Vacances in France

Voila le début d'une nouvelle fic que j'ai commencé d'écrire.
Elle sera peut-être moins gore que la première et sera plus accès sur les couples et la rigolade mais j'espère qu'elle vous plaira quand même.


-Pousse toi un peu, Jesse ! Tu prend toute la place ! Se plaignit Megan.
Tous, serraient dans un minicar qu’ils avaient loué, ils se dirigeaient vers l’aéroport afin de partir pour la France. Quand je dis ils, c’étaient le petit groupe d’amis de Cascadia que tout le monde connaît.
Cassidy, devant pour cause de grossesse, lisait la carte qui n’était pas pour elle une partie de plaisir. Squib conduisait, se laissant guider par la jeune femme.
-Euh, tourne à droite ! Dit-elle; très peu sûre d’elle.
-Y’a pas de route à droite ! Répondit Squib.
-Qu’est-ce que tu dis ?
Elle leva les yeux du plan et vis avec stupéfaction le manque de route.
-Ben, je sais pas ! Essaye à gauche ! Dit-elle déboussolée.
Squib lui arracha la carte des mains et regarda où ils se trouvaient.
-On aurait prendre la sortie précédente, banane ! Dit-il en sortant enfin son nez du plan.
Cassidy se mordit la lèvre inférieure et s’enfonça un peu plus dans son fauteuil afin de se faire la plus petite possible aux yeux de Squib.
-Ce n’est pas pour dire mais l’avion décolle dans deux heures et demi alors qu’on aurait dû être là-bas. Dit Tanis en se penchant en avant. ATTENTION !!!!!
Elle hurla et Squib freina si violemment que Tanis dû s’aider de ses ongles manucurés pour ne pas atterrir dans le pare-brise.
Un panneau marqué du mot « TRAVAUX » été posé devant un trou d’une profondeur non-voyante.
Ils firent marche arrière et Squib vit le panneau « DEVIATION » et roula dans la direction indiqué.
-Bon, allez ! Encore une heure pour arriver à l’autoroute, une heure pour en sortir et une demie heure pour se garer. On va le louper, c’est sûr !!!
-Oui, bon, l’intello, on t’as pas causé ! Et en plus, je parie qu’on ne mettra même pas dix minutes pour arriver à l’autoroute.
Quarante cinq minutes s’écoulèrent dans un silence des plus complet. Enfin, ils arrivèrent au péage.
-Voila, trois quart d’heure ! C’était pas ce que j’avais dis ?
Un silence gêné répondit à sa question. Ils roulèrent ensuite dans un profond silence lorsque :
-OOOOIN !!!! OOOOIN !!!!
-Cody ! Je croyait qu’elle dormait ! S’écria Squib que le silence apaisé.
-Elle dormait mais plus maintenant !
Cody saisit un petit boute chou âgés d’à peine deux mois qu’elle posa dans le creux de ses bras.
« ça va Liz. Rendors toi maintenant. »
Ce sont les seuls phrases qui furent prononcés jusqu’à la fin du voyage.


-Seb ! tu peux me prendre ma valise qu'est au fond s'te plait ! dit Adéna. Allez Max, dépêche toi, l'avion décolle dans une heure ! Faut les faire enregistrer, on a pas le temps de traier !
Sebastien, Max et Adéna entrèrent, muni d'un cadi où était empilé de nombreuses valises. Ils furent étonnés par ce grand espace blanc remplis de centaines de personnes. Surpris également des nombreux escaliers partant de ci de là et ne menant on ne savait où. Ils aperçurent au loin une Tanis achetant des bonbons pour ses enfants, un Nate lisant les journaux français sans en comprendre le moindre mots. Ils virent au loin un panneau où défilait : "les passagers en partance pour la France sont priés d'enregistrer leurs bagages, rangé 13". Les trois amis comptèrent les numéros et aperçurent la rangée 13 à 30 mètre environ. Ils se faufilèrent à travers les gens, lançant de temps à autre de malencontreux "excusez moi" et arrivèrent enfin derrière un couple. Ils virent le reste de la troupe devant, leurs faisant de grands signes.

Enfin, ce fût à eux. Adéna eut beaucoup de mal à se décider entre un sac rouge contenant ses produits de maquillage et la petite valise qui contenait les scripts qu'elle devait relire. Elle mit enfin, sur le tapis, la valisette et se mordit les doigts en se rappelant qu'elle avait malencontreusement mis son joli vernis bleu ciel brillant.
"Pas grave" pense t-elle pour se réconforter"j'aurais plus de temps dans ma chambre de toute façon".
Ils entrèrent ensuite, après une vérification de leurs papiers et de leurs bagages à main, dans la salle de transit. Là, ils retrouvèrent le rste d la bande.
Après une courte attente, une voix les pria de se présenter à l'avion.

-Ah !!! Enfin ! Cassidy s'assit à côté de Jesse dont elle saisit la main. Tu savais que je n'étais encore jamais monté dans un avion !
-Non, mais on en apprend tous les jours à paremment ! Elle lui sourit et posa sa tête sur son épaule.
-J'ai peur ! Murmura t-elle.
Jesse lui carressa les cheveux et y posa un tendre baiser réconfortant.
Pendant ce temps, deux zigotos faisaient les gestes que les passagers devraient faire en cas d'accident et montraient les issues de secours. Deux hôtesses de l'air passèrent ensuite de l'insecticide puant la citronelle et l'avion décolla enfin.

Voila, un début peut-être court mais je l'espère assez bien.
J'ai pas encore écrit la suite et je ne sais même pas ce qu'il va se passer mais j'ai pour habitude de laisser l'imagination joué que ma plume (eh oui ! Tous mes textes je les écrits d'abord à la main et ensuite je les tape. Que de travail lol !)

Bon voila, j'espère que ça vous plairas.

moi je trouve sa bien ses un bon début

Whouahw Je l'attendais la suite :p
Je comprend peut-etre pas tout les couples ms ca va arrivé je suppose.

Viite la suite

Voila, une courte suite mais qui en dit long. Je vous laisse la déguster avec délectation. J'espère que ça ne chauquera pas vos papilles délicates.

Partie 2 : Quand tout se passe.

Une voix réveilla une Tanis endormit.
«Mesdames et Messieurs,  nous survolerons les côtes françaises dans environ une heure. Il est à peu près 10 h 20 à l’endroit de notre destination. Il fait à peu près 27°C et le temps est magnifique malgré de légère perturbation.

Ladys and gentlemans, … »

Tanis s’étendit et jeta un coup d’œil à Rick, Tom et Kate qui dormaient à point fermés.
Son mari avait eut la bonne idée de mettre les « bouche-oreille » jaune distribué par la compagnie, chose qu’elle avait oublié de faire. Elle tourna la tête deux rangs de place derrière elle et découvrit une Adena dormant la bouche grande ouverte appuyer sur la faible épaule de son fils qui ne semblait ressentir aucune douleur et qui regardait les dessins animés de Tom & Jerry sur les petits écrans plasma, le casque sur ses oreilles. Tanis tendit ensuite la tête afin d’apercevoir, quatre rangs devant, la chevelure noire de Cody et ses nouvelles fines boucles.
Celle-ci avait, aussi étonnant que cela puisse paraître, troquait sa belle chevelure rousse et assez soyeuse pour de fines boucles noires aux nombreux reflets bleu foncé.

Tanis tourna une nouvelles fois la tête et arrêta son regard sur Nate. C’était la première fois qu’elle l’avait vu depuis à peu près huit ans si elle se souvenait bien et il n’avait, pour ainsi dire, pas changé. Il possédait toujours cette moue aussi nonchalante qui lui donnait cet air aussi séduisant. Elle le voyait, ses écouteurs sur les oreilles, rigolant sûrement aux sketches enregistrés sur les bandes sons en plus des morceaux de hip-hop, de ceux de classiques ou encore les petites comptines pour enfants. Il se tourna vers elle, sentant sûrement son regard tournait vers lui. Tanis, elle, ne le fixa quelques millisecondes. Elle jeta ensuite un regard honteux sur son alliance puis sur ses enfants et enfin sur Rick.. Elle se sentait nulle et ne le supportait pas. Tanis McTaggart n’était pas nulle ou du moins, ne devait pas l’être. Or, à ce moment précis, son cœur battait la chamade, ses tempes allaient explosées d’un moment à l’autre sous l’effet du battement de son sang et un sentiment d’infidélité lui donnait un mal épouvantable à la tête. Elle était prête à se la cogné contre la tablette ouverte fixait devant elle quand une lumière rouge se mit à clignoter suivit quelques secondes après par la voix du pilote.
« Mesdames et Messieurs, nous entrons dans une zone de turbulence. Nous vous prions d’attacher votre ceinture et de relever sièges et tablettes, Merci. »

Elle vit la crinière noire de Cody disparaître et quelques instant après, les mains de celle-ci réapparaître saisissant son bébé afin de l’enlever de son couffin aménagé devant les places avant. Tout le monde se réveilla mais Tanis vit que son mari et ses deux enfants dormaient encore. Elle regarda par le hublot ce qui pouvait bien se passer et vit avec terreur que du feu surgissait de l’aile droite. Elle détacha sa ceinture et se mit à réveiller assez brutalement les trois personnes. Elle n’eut aucun mal à faire ouvrir un œil à Ton et Kate mais Rick, endormit sur un fauteuil placé sur l’autre rangé, dormait à point fermé.
« Mesdames et Messieurs, nous vous prions de vous munir des gilets de sauvetage qui se trouvent sous vos sièges et des masques d’oxygène qui seront dans quelques instants, à votre portée. »
Tanis saisit le gilet, l’enfila en vitesse et aida ses enfants à en faire de même, jetant un coup d’œil inquiet à Rick, toujours endormit. Elle posa une main tendre sur la joue de ses deux enfants et avança en direction de son bien-aimé.
« Madame, rasseyez-vous, je vous en prie ! »
L’avion commençait de plus en plus rapidement sa décente aux enfers et Tanis due s’accrocher des fauteuils pour ne pas tomber. Elle entendit les cris suppliant de ses amis et les pleurs déchirants de ses enfants voulant à tout prix qu’elle fasse demi-tour, chose qu’elle n’aurait fait pour rien au monde. Une fois arrivé, elle réveilla avec désespoir un Rick qui ne se doutait de rien qui sursauta par la suite. Elle l’entendit lui demander ce qui se passait et qu’il l’aimait. Elle sourit à ses mots, oubliant un très court instant la situation. Ensuite, tout se passa très vite : Elle supplia Rick de mettre sa ceinture, son gilet de sauvetage et le masque qui pendait devant lui, elle entendit ensuite le clickement d’une ceinture qui se détache, la voix de ses amis lui criant des « vite » apeuré, le visage de Nate courrant vers elle, essayant tant bien que mal de la ramener à sa place, elle sentit l’avion piquer du nez dans une descente des plus dangereuse, elle vit les tiroirs en métal comportant leur dîner se retirer et descendre vers eux, c’est-à-dire dans la même direction que l’avion, c’est-à-dire aussi, en bas, elle entendit des cris, sentit la main de Rick essayant de l’attirer vers lui de toutes ses forces mais lui échappant, sentit un coup effroyable à la tête et…plus rien.


Voila, vous avez aimé ???

J'ADORE...
Vraiment génial !
Super bien écrit !
Enfin bref comme dirait mon ptit frère euh... "Je kiff à donfe" enfin je crois que c'est comme sa qu'on dit lol...
Frenchement j'aime beaucoup ta fiction...

moi j'aime bien je veux la suite

la suite...

Partie 3 : Où l'attente s'éternise

Une semaine était passé depuis ce maudit accident d’avion.
Cody était là, dans sa chambre, en train de nourrir Liz. Elle la regardait téter avec gourmandise en pensant à Tanis et à Nate.
« Où pouvait-il être tous les deux ? » Depuis une semaine, Rick tournait dans sa chambre, ne mangeant plus et se répétant que tout était de sa faute. Ses enfants, eux, étaient allés à Lilles, ville où habitait les parents de Tanis qu’ils devaient tous passer voir dans une semaine. Liz s’endormit et Cody la prit doucement dans ses bras afin de la poser dans son berceau. Une porte grinça derrière elle et deux mains se glissèrent autour de sa taille afin de la cajoler. Des pics blonds s’enfoncèrent dans son cou et la jeune femme put deviner la personne mystère. Elle passa une main sur ses cheveux brillants et murmura une petite phrase sans importance mais qui devait combler le silence.
-Elle s’est endormit.
-Très bien. Dit le jeune homme qui était bien entendu Squib.
-T’es allé voir Rick ?
-Hum.
-Et ?
-Dans le même état, toujours aussi absent.
Squib lâcha Cody et s’assit sur le lit, mettant son visage dans ses mains d’un air fatigué. La jeune femme, troublé, s’asseya à ses côtés et frôla sa joue de ses doigts, passant et repassant, telle un peintre sur sa toile.
-Qu’est-ce qu’il y a ?Dit-elle doucement.
-Et si…on ne les retrouvez pas !
Cody immobilisa son geste, devenant aussi absente que Rick. Pourquoi disait-il cela ? Ils retrouveraient, c’était obligé ! Ils ne pouvaient pas…ils ne devaient pas…
Ses yeux fixèrent un point imaginaire sur le mur et elle sentit des larmes perler le long de ses joues, ne s’en rendant presque pas compte. Elle se blottit par la suite dans le creux de Squib, passant la mais de celui-ci autour de sa taille, comme pour la réchauffer. Elle avait froid tout à coup. Horriblement froid.

Rick était étendu sur son lit, regardant le plafond avec autant d’intérêt que si il regardait la fille la plus belle du monde qui était, à ce moment là, disparût. Un petit coup à la porte se fit ensuite entendre, suivit d’un petite voix à peine audible mais emplie de tristesse.
-Rick, c’est Cassidy. Je peux entrer ?
Comme celle-ci n’entendit rien, elle poussa doucement la porte et posa un regard discret dur Rick, étendu. Elle entra ensuite, repoussant la porte derrière elle.
Elle s’assit timidement sur le lit, observant un Rick en pleine contemplation de son plafond.
-Rick, je voulais te dire que…le repas est servit et que… tu pouvais aller manger. Tu en à grand besoin, tu sais.
-J’ai pas faim.
Soudain Cassidy éclata en sanglot.
-On a pas besoin d’un troisième mort ici. Elle se leva brusquement se qui fit tourner ma tête de Rick dans sa direction.
-Qu’est-ce que t’as dit ? Dit il enfin.
-Ce que tout le monde se dit. Même toi. Elle observait les nuages, flottant gracieusement dans le ciel.
-Quoi ?
-Oui, même toi tu te le dis. Dit-elle, se tournant enfin vers son locuteur.
-Ah oui, tu penses ça.
-Bien sûr. Sinon, pourquoi tu resterais là à te lamenter ? Parce que, par ta faute elle a peut-être mouillé son petit polo marron que tu lui avais offert à Noël ? Mais réfléchit enfin ! C’est…
-Je fais que ça, si tu ne voyais pas ! S’énerva tout à coup Rick. Tu crois que c’est facile toi ! Et si c’était Jesse, hein ! T’aurais pas été comme moi peut-être ! Toute nourriture dans ma bouche me donne envie de vomir, voir mes enfants me fait tourner la tête, voir son visage se baisser sur moi pour m’embrasser me donne envie de pleurer. Mais personne ne peux comprendre. Vous êtes tellement débiles. Même Cody qui se fait passer pour une il tello ne comprend même pas ça. De toute façon, personne ne peut le comprendre.
Cassidy avança doucement au fur et à mesure qu’il parlait. A chaque fois qu’elle faisait un pas, le ton colérique de Rick diminuait. Quand il eut finit sa tirade et qu’elle fut en face de lui, elle le regarda monter les yeux vers elle avec une lenteur insupportable et une fois leur yeux fixaient, leur lèvres s’approchèrent rapidement formant un baiser fougueux et passionné.


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Et voila. J'ai mis moins d'une heure à la faire, je suis fière de moi.

Je ne sais pas si vous aimez parce qu'au début ça devait être de simple vacances et je me suis dit que ça allais faire trop histoire à l'eau de rose, si bien que maintenant, ça redevient gore avec ces maudites disparitions.
Faut que je me calme et que j'arrête de me compliquer la vie lol

Je suis trop...mélodramatique
Enfin, si vous avez aimé, laissez des comssss !!

J'aime bien, mais si tu me permet je dirais que j'ai déja vus pire en histoire gore, et sanglante. Comme celle que j'ai arréter, c'est pour sa d'ailleur que j'ai arréter de l'écrire.

Je sais que c'est pas la plus "gore" des histoires mais bon...voila, je me comprend

Bon, une très courte partie, j'espère qu'elle vous plaira. (je sais plus si c'est la partie 4 ou la partie 5 donc on va mettre partie 4)

Partie 4 : Où une nouvelle peut faire du bien et un baiser du mal.

Megan était assise sur la terrasse de la demeure qu’ils avaient louées pour leur vacances. Elle sirotait un verre de lait grenadine et gardait les yeux fixé sur le pot de fleur contenant de simples roses. Une porte s’ouvrit derrière elle, celle de la baie vitrée. Elle sentit le bas d’un T-shirt lui frôler l’épaule et Seb apparut ensuite pour s’asseoir en face d’elle.
-Tu es toujours avec ton lait grenadine ? Qu’est-ce qu’y va pas ? Il la regarda et elle détacha son regard des fleurs. Elle avança sa chaise plus près de la table.
-Tanis !
Sébastien, lui, s’affala sur sa chaise comme si l’inquiétude de son amie ne devait justement pas y être
-Et ?dit-il simplement
-Et quoi ?
-Et… c’est tout ?
-C’est tout ? C’est tout ce que tu trouve à dire ? C’est peut-être pas important, hein !elle le regarda droit dans les yeux. Tu vois pas qu’ils vont peut-être mourir !
Sébastien eu un sourire aux lèvres à cette phrase. Megan, elle, ne souriait pas. Ou plutôt si, elle souriait d’un sourire affreusement amère.
-Tu t’en fous hein ?
Sébastien se pencha comme pour lui dire quelque chose d’assez confidentiel.
-Ils sont en vie !
-Quoi !
-Tu te rappelles que c’est mon numéro qu’on a donné.
-Oui ! Dit-elle devenant bizarrement inquiète.
Il approcha encore plus son visage du sien et se mit à parler tout doucement.
-Cette nuit, mon portable a sonné. J’ai répondu et…
-Et ???
-Et …
-Bon, et puis quoi ? S’énerva Megan.
-Et on m’a dit qu’ils avaient été rapatrié au sud de l’Angleterre.
Megan resta muette de stupeur.
-Tu te fou de ma gueule là !
Le sourire de Sébastien s’agrandit.
-Pas du tout .
Tout à coup, Megan se leva , entra dans la maison et se mit à crier avec bonheur « Tanis est vivante, Nate est vivant, ils sont vivant !! » . Sébastien la regardait avec un sourire amusé aux lèvres. La bonne humeur pour ces vacances se faisait rare et le bonheur qui serait bientôt contagieux serait alors la bienvenue.

Rick, toujours allongé sur son lit, ne pensant cette fois pas à Tanis mais à Cassidy, se leva précipitamment à cette nouvelle et ouvrit la porte à la volée. Il se retrouva tout à coup nez à nez avec Adéna.
-Rick, je peux te parler un instant ? Celui-ci acquiesça mais se rendit compte que la jeune femme aux boucles et au grand charme était soucieuse. Celle-ci s’assit sur le lit et joignit ses mains. Elle regarda ensuite Rick d’un regard rempli de tristesse et se releva comme ci le lit n’était pas la meilleure place pour lui dire ce qu’elle devait dire. Elle se planta devant Rick qui n’avait pas bougé et ferma la porte.
-Rick, je…je vais pas y aller par quatre chemin, je n’en ai pas le courage. Voila, cela fais à peu près de semaines qu’on attend des nouvelles et qu’on croit tous qu’ils sont morts, n’est-ce pas ?
Rick acquiesça une nouvelle fois, ne voyant pas où elle voulait en venir.
-Rick, je vous ai vus. Toi et Cassidy.
-Quoi ??
-S’il te plait, ne m’oblige pas à répéter. Elle fit une pause, évitant de croiser son regard. « Je sais. Reprit-elle. Tu pensais peut-être qu’elle était morte ou je sais pas.
Rick la saisit par les épaules et la plaqua contre le mur.
-Tu ne lui dira rien hein ?
-Quoi ?
-A Tanis, tu ne lui dira rien.
-Oui, pourquoi ?
-S’il te plait, promet moi que tu ne lui dira rien.
Adéna l’observait. Il était pâle et ses lèvres tremblaient. La fatigue l’énervait et pourrait même le rendre dangereux.
-Je te le promet.
Il la serrait tellement fort, elle sentait ses pouces s’enfonçaient un peu plus dans sa peau.
-Rick, tu peux me lâcher maintenant ? Je te jure que je ne dirait rien alors lâche moi.
Celui-ci la lâcha, revenant peu à peu à la réalité mais n’oubliant pas pour autant son inquiétude.
-Adéna, si tu le dis, je te promet que je ne pourrait pas le supporter et que, même si tu es ma meilleure amie, je n’hésiterais pas à…
Cody débarqua dans la chambre, sourire aux lèvres.

Voila, lâchez vos coms

Je sais ma fic n'est pas passionnante mais comme j'ai rien à faire je poste la suite:

Partie 5 : Quand le grand jour arrive ainsi qu'une dispute

Cody regardait avec jalousie Squib. Elle était si petite qu'elle n'apercevait que le dos de la personne devant elle ce qui la trommatisait. Elle tendait la tête, se mettait sur la pointe des pieds, sautait de temps à autre, rien y faisait, elle n'arrivait à voir que la touffe de cheveux du gars devant elle.
Squib s'aperçut du regard envieur que celle-ci lui donnait.
-Voila pourquoi je préfère être bête et grand qu'intello et petit.
Cody lui tira la langue et tenta par ses propres moyens d'appercevoir au moins le quai.
-Ils sont là ! Ils sont là !!! crai tout à coup Squib.
Le reste de la troupe se mettait sur la pointe des pieds et appercevait les deux personnes qui étaient, quelques jours encore, disparut.
Cody, elle, sautait dans tous les sens, impatiente de revoir ses amis. Heureusement qu'elle avait laissé Liz à Cassidy qui était resté à la maison car sinon la petite lui aurait vomi une grande partie de son repas.
Elle vit ses amis faire de grands gestes avec leur mains et elle en fit de même puis, soudain, elle aperçut deux têtes se faufilaient à travers les nombreuses personnes et arrivaient vers eux. Cody, qui était impatiente de les revoir, sauta dans les bras de Tanis et la serra fort contre elle.
-On a eu une de ses peurs !! On te disait de te rassoir ! T'es vraiment une tête de mûle toi !
Cody se rua ensuite sur Nate. Il lui avait tant manqué, comment aurait-elle put vivre sans lui, sans son air si glacial mais si séduisant. Même si elle aimait Squib, elle n'aurait jamais pû survivre car elle savait qu'il lui aurait manqué un simple mais important élément, un élément que seul Nate dégageait. Elle lui embrassa la joue d'un tendre baiser et se retourna vers Squib et les autres. Squib était retourné et signait quelques autographes à quelques fans qui l'avaient reconnu et qui s'étaient ruée sur lui. Quelques uns osaient même demander une photo en leur compagnie, ce que Squib acceptait avec joie. Il aimait la célébrité et faisait tout pour qu'elle reste le plus longtemps possible.
Cody qui ne supportait pas la façon dont ces fans se comprtaient envers son bien-aimé, n'eut pour autre choix de se retourner afin de ne plus voir cette scène qui la rendait si jalouse. Elle proposa donc à tout le groupe d'aller boire un verre afin que les petits arrivants leur raconte leur histoire trépidente.
-Qui veut boire un café ? Dit-elle, tournant toujours le dos à Squib.
-Cody, on est en plein été !! Que diriez vous plutôt d'une bière ou d'une glace ? dit Adéna qui tenait Tanis par le bras comme si elle avait peur qu'elle parte de nouveau. Regardez, là-bas, il y a un bar, allons-y !
Tout le monde la suivit donc, sauf Squib, occupé par ses fans de plus en plus nombreux.

Ils étaient tous accoudaient à leur table de café quand Squib arriva.
-Bah dis donc, t'en as mis du temps ! T'es si célèbre que ça ? demanda Nate qui ne semblait pas épuisé par le long voyage.
-Euh, on va dire que oui, j'ai un peu de fan. Répondit Squib en s'asseyant sur une chaise à côté de Rick qui tenait la main de Tanis et qui sirotait un pastis au coca qu'il patageait avec celle-ci également.
-Un peu. Répliqua Cody qui était de mauvaise humeur.
-Ben oui, pourquoi. Je suis quand même pas Céline Dion ou Mickael Jackson.
-Encore heureux car je n'ai pas envie d'être amoureuse d'un fille ou d'un fou qui ce met du talk pour être blanc.
Tout le monde éclata de rire sauf Squib et Cody qui se regardaient d'un air grave.
-C'était un exemple Cody !
-Ah désolé, je ne savais pas ! Il faudra que tu m'explique la prochaine fois.
-Mais qu'est-ce qu'il te prend tout à coup !
-Mais quoi ! Je vais bien ! C'est toi qui commence à m'aggrésser.
-Sa va pas ??? C'est toi !!! J'arrive tranquillement après avoir signé quelques autographes et toi tu commence à me faire la gueule.
-Sa c'est la meilleure !! T'en as beaucoup des comme ça ?
-Mais c'est vrai, j'ai rien fait et tu m'aggrèsse !!!
-C'est bon, j'en ai plus qu'assez !!! On rentre ? Dit Cody aux autres d'un ton plus impératif qu'interrogatif.
Le groupe se leva en silence, les regardant à leur engueulade.
-Squib, c'est toi qu'à les clés !!! Donne les moi, c'est moi qui conduit.
-Attends, je les cherche. J'espère que j'ai le droit puisque maintenant la moindre chose peut devenir un problème !
-Tu les as oui ou non ?
Squib les lui tendit et elle les lui arracha des mains.
-Merci.
Elle ouvrit la voiture et tout le monde entra dans le silence. Megan se mit devant, à côté de Cody, afin d'arrêter cette dispute qui était parti de rien mais qui durerait suremant un bon bout de temps.

Une fois arrivait, le groupe s'en fut à l'interieure de la demeure, laissant les deux "tourteraux" se disputer.
-Mais Squib, j'en peux plus moi, tu m'étouffe avec tes maudits fans !!! Moi, je suis la bonniche qui te sers de petite amie. Tu as même dit aux journaux que tu étais encore célibataire. Mais je suis quoi, je suis pas la fille qui peut te consoler et que tu peux jeter au placard dès que tout va bien. T'aurais dû me le dire avant parce que si ça continue comme ça, c'est fini entre nous, tu entends !!!
-Mais qu'est-ce qu'ils ont mes fans, tu es jalouse, c'est ça ? Mais dit le moi tout de suite comme ça j'arrête ma carrière et on vit dans un appartement dans un HLM tout pourri, tu sera peut-être mieux.
-Oooh !!! Tu m'agaces ! Elle se prépara à partir mais Squib lui retint le bras.
-Cody, je t'aimes plus que tout mais je ne comprend pas tes crises par fois. Je ne comprends pas pourquoi tu m'en veux. Alors, s'il te plait, prend le temps de réfléchir. Je sais, je suis qu'un minable joueur de tennis qui n'a rien dans la tête alors si tu m'aime encore, dit le moi, je n'arriverai pas à le deviner tout seul.
Il lui lâcha la main et posa ses lèvres sur les siennes. Il ouvrit ensuite la portière gauche afin et la referma. Il démarra la voiture ne sachant pas très bien ou aller. Cody resta là à le regarder partir.


Elle revint ensuite à la maison, la tête basse. Elle monta les escaliers, ouvrit la porte de sa chambre et s'allongea de tout son long sur son lit. Megan frappa quelques instants plus tard à la porte.
-Cody, je peux entrer ?
-Humm
Megan entra donc et s'assit sur un tabouret dans le fond de la chambre.
-Cody. Dit-elle d'un ton inquiet.
Elle se dirigea vers le lit et s'assit en tailleur dessus.
Elle passa une main sur les cheveux de la jeune femme.
-Cody, qu'est-ce qu'il ya ?
Celle-ci releva la tête laissant apparaître un visage constellé de larmes.
-Squib ! Il va me lâcher ! J'en suis sure !
Elle se mit à pleurer, laissant une nouvelle fois ses larmes coulaient.
-Mais non,qu'est-ce que tu racontes !
-Il est tout le temps partit pour faire ses tournées dans le monde entier alors que moi je reste à la maison à m'occuper de tout. Après je me met à peter les plombs quand je lis dans les magazines toutes les rumeurs à son sujet. Je me met à devenir jalouse de ses fans. Je sais qu'il aurait besoin de moi mais au lieu de ça, je l'engueule.
Megan la lacha et la regarda droit dans les yeux.
-Ecoute, c'était exactement pareil avec Seb. Il était tout le temps partit: tournoie, compétitions, pub, etc... et moi je l'attendais. Jusqu'au jour où j'en ai eut marre de sa célébrité, de ses voyages. J'ai décidé de casser. Nous deux, c'étaient pas possible. Enfin, à l'époque, car maintenant, je m'aperçoit que c'était l'homme de ma vie et que je ne peux pas vivre sans lui.Mais je suis trop orgueilleuse pour lui faire entendre raison et pour demander pardon. Alors, je t'en supplie Cody, ne gâche pas le bonheur que tu as aujourd'hui, car bien entendu, il y a des hauts et des bas dans un couple mais quand on se sépare de l'être qu'on aime le plus au monde, il n'y a plus ni de bas, ni de haut alors, réfléchis-y !

Megan ferma ensuite la porte, laissant Cody dans ses pensées

Voila, j'espère que ça vous as plut. Sinon, c'est pas grave, laissez des coms quand même

Mais si c'est bien!! Faut que tu continue!!!!
C'est marrant de voir Cody s'énerver comme ça!
Vite une ptite suite!

Merci , un epu de soutient ne fait pas de mal.

De rien. Je te soutiens a 110%!!!

Voici la suite (courte peut-être mais suite quand même) de ma fic :
Partie 6 : Quand il y a une arrivée et un départ

Tout le monde était installé dans le salon et ne savait où diriger leur sujet de conversations.
Megan venait tous juste de s’asseoir dans un fauteuil des plus moelleux.
Adéna arrive par la suite chargé d’un plateau empli de friandises et de boissons. Elle s’assit ensuite à côté de Sébastien.
Le silence devint de plus en plus pesant, laissant apparaître une mine de gêne.
Rick prit la parole.
-Euh, alors, Tanis, qu’est-il arrivait pendant votre petite virée dans la Mer Méditerranée
Tout le monde le regarda moqueur.
-Quoi ? Demanda-t-il sentant tous les regards fixaient sur lui.
-Rick, c’est pas la Mer Méditerranéenne, c’est l’océan Atlantique. Dit Cassidy.
-Oui, et puis, qu’est-ce que ça change après tout ?
Tout le monde le fixa d’un air d’incompréhension et le silence revint une nouvelle fois.
Nate le rompit :
-En fait, on a attendu dans l’eau pendant un peu de temps, c’est-à-dire huit ou neuf heures .
-Tu n’as pas changé tu sais. Tu as toujours ton ton si ironique qui fait tout ton charme. Dit Adéna
A ces mots, Nate sentit de la gêne l’envahir mais se ressaisit et continua ce qu’il savait le plus faire : de l’ironie.
-Bon, comme je le disais on a attendu sept ou huit heures où l’on a beaucoup discuter sur la façon dont on allait mourir.
-Tu ne t’as pas ennuyé avec ses hypothèses à deux balles. Demanda Rick à sa femme. Celle-ci haussa les épaules d’un air de dédain et retourna la tête vers le conteur.
J’en était à la façon la plus fantastique, celle où un calmar géant nous attrape par les pieds et nous enfonce dans le grand bleu quand un navire de pêcheur d’Angleterre nous a aperçut, enfin, c’était plutôt nous qui l’avons vu puisque il était plus gros que nous tout de même.
-C’est bizarre, dit Jesse. J’ai comprit tout ce que tu as dit, c’est moi qui devient intello ou c’est toi qui te ramolli sur tes phrases.
Nate ne lui répondit pas et se contenta de continuer.
-Donc, il nous a repêché et on est arrivé à Weymouth, une ville au sud de l’Angleterre. C’était charmant, on s’est baladé dans le centre ville et on a bien rigolé.
A cette phrase, Tanis sentit la main de Rick se raidir dans la sienne. Celui-ci n’en revenait pas : ils avaient osés ne pas se soucier d’eux pendant leur petite virée. Lui qui n’avait rien mangé depuis deux semaines et qui ne dormait que d’une oreille depuis qu’ils étaient disparut Comment avaient-ils put passer du bon temps sans se soucier un peu de leur poires ?
Il se leva et se dirigea dans les toilettes, ne pouvant en écouter plus pour le moment. Il se lava le visage en passant de l’eau sur cette peau si moite et se regarda longuement dans la glace à la recherche de ses défauts.
Après quelques minutes, il entendit son portable vibrer dans sa poche arrière de son jean.
Il le saisit d’une main lasse, appuya sur le bouton vert et le porta à son oreille.
-Allô ? Entendit-il
-Squib ???Où est-ce que tu es bon sang ?
-En fait, c’était pour te demander si tu pouvais dire à Cody de ne pas s’inquiéter.
-Mais, tu es où ??
-Je suis dans un hôtel, pas la grande classe mais je m’en sors.
-Squib, t’es où ?
-Mais je te l’ai dit, dans un hôtel.
-Je ne voulais pas dire ça, je voulais te demander où était ton hôtel.
Il y eut un silence à l’autre bout du fil.
-Squib ???
-Tu peux pas savoir où je suis.
- Pourquoi ? Je suis ton vieux pot tout de même.
-Rick, arrête, j’ai pas envie de revenir maintenant , pigé !!!
-Je ne te lâcherais pas tant que tu ne m’aura pas dit où tu te trouvais.
-Je vais te dire juste un truc, Geddes, après je raccroche, OK ?
Rick acquiesça à l’autre bout du fil.
-Rick, tu accepte ou pas.
-Oui, finit à dire le récepteur.
-Dit à Cody que je fais un gros bisou à Liz et surtout n’essaye pas de me retrouver, j’ai besoin de temps pour réfléchir à mon avenir et à ma relation avec Cody.
-Et, t’as dit deux choses. Il parlait dans le vide, Squib avait déjà raccrocher.

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